Des problèmes pour une près midi sécher, j’en ai rien à faire, c’est un peu une urgence. C’est vrai que je veux être vite fixé, oui j’ai peur, je suis même terrifiait, mais pour June je me montre fort et inébranlable. Je veux savoir pour prendre me disposition, mais je souhaite de tout cœur que se soit une fausse alerte, je me sens pas le courage d’en parler à Charlotte te mon père, ma copine ne vouait pas être seul pour l’après midi : « Oui je reste avec toi. Je croyais que tu aurais put faire le test aujourd’hui »
Je m rend compte qu’elle est bien renseigner, je me sens impuissant et bien démuni face à tout cela, je me sens comme un tourbillon sans fin. Mais je garde se sentiment pour moi, je ne sais pas où elle veut aller maintenant alors je la suis. Je garde en mémoire le regard de cette veille femme à la pharmacie, je regardant June et moi choquée d’avoir demandé un test de grossesse, une personne qui ne respecter les distance de discrétion écoutant ce qui se asse dans la vie des autres. Tout en marchant cote à cote, et main dans la main, j’essaye de la rassurée :
« Quoi que tu décide, je serais là pour toi. Je suis ce genre de garçon qui fuit devant les problèmes, A deux on est plus fort. Et quoi qu’il advienne je ne veux que se soit finis entre toi et moi. Si tu veux le garder, je prendrais mes responsabilité, mais par pitié n’avorte pas s’il te plaît »
J’ai envie de l’embrasser, mais je ne suis pas sûr que la situation se prête à ce genre de démonstration d’affection. Je ne sais pas quoi faire, même si ma mère, m’a donné toutes les clefs pour réussir ma vie, mais là elle à rien à ce sujet :
« Les cours ne parle pas de ça, parce que c’est par le job, et que pour eux nos premier rapport devrais avoir lieu une fois adultes et aptes à assumer correctement. June je sais que tu va devoir en parler à tes parents, e serais là si tu veux, mais si je pense qu’ils voudront me faire la peau, mais ne m’oblige pas à le dire à ma famille, on fait seulement connaissance, avec Charlotte ça se passe bien, mise à part la punition, et mon père o est au début d’un lien, je ne veux pas tout perdre, ni eux, ni toi »
J’ai déjà perdue beaucoup dans a vie, notamment ma mère, perdre une autre personne n’est pas envisageable, pas encore. Je ne le supporterais pas. Je ne veux pas être ce genre de personne qui mène dans son sillage le malheur. Mais je me demande si ce n’est pas déjà le cas. Elle ne sait pas quoi et moi non plus, je n’ai qu’une certitude :
« Je sais que ça va être difficile, mais faut que tu en parle rapidement à tes père, faut vraiment que tu vois un spécialiste très vite, je te réitère ma promesse, je serais là pour toit »
Je la prends de nouveau contre moi, dans une accolade franche et réconfortante enfin je l’espère. Je la serre contre lui laissant oser sa tête sur mon torse.