June a semble t’elle avoir trouvé la raison qui selon elle, aurait amené à leur rupture. Toujours appuyé contre le bureau j’écoutais. Une raison qui doit nous convenir à tout les deux. Une raison qui incrimine ni l’un ni l’autre. Mais non ça me plaisait pas, car je sais que si je disais ça, certains ne se gênerais pas pour l’insulter, ca sonnait un comme une tromperie. Elle était tout proche de moi, mais après avoir glissé ses mains dans les miennes elle le retira.
Physiquement parlant elle m’attirait c’est indéniables et cette proximité, me mettait un peu mal à l’aise, mais dans le bon sens, je n’ais pas l’habitude de ce genre d’attitude, mais ça me plaisait. Tout comme quand elle à plonger sons regard dans le mien, j’avais senti une chaleur déferler en moi. Garder ses mains m’aurait bien plus. Elle veut qu’on reste et je suis d’accord :
« Au lieu de donner une raison on pourrais juste dire, que ça ne pouvait coller sans donner de véritable explications »
C’est pour moi une bonne idée, pas besoin d’en dire plus sans pour autant passer l’un ou l‘autre, pour quelqu’un qu’on n’est pas, même si e venait de voir la discussion avec un certain Noah, je ne voulais pas que se soit de sa faute ou de la mienne, peut être qu’avoir joué à ce petit pendant deux jours fus une erreur :
« Je ne veux pas qu’on deviennent ennemi. Je suis d’accord pour qu’on reste amis, Ca va me faire bizarre c’est sur, mais on aura deux jour unique, je crois que c’est un bon terme, je… »
Je m’approche d’elle et passe une de ses mèches derrière son oreille et appose mes lèvres sur les sienne. Je pose mes mains sur ses hanches et me laisse emporter par la situation, tout en embrasser June on tombe a deux sur son lit. A ce moment précis je me sens prêt à aller plus loin. Je n’arrive pas à arrêter de l’embrasser allonger sur elle. Malgré moi je joue du bassin :
« Tu veux aussi, tu as des capotes ?»
Oui je n’avais pas pensé à m’en procuré, il y encore un quart d’heure jamais ‘aurais pensé le faire. Si en me levant se matin on e dirais que je m’endormirais dépucellé, j’aurais dit impossible. J’étais sur le point de déboutonné mon pantalon quand des personnes se firent entendre, appelant June, ses pères, je la regarde refroidis, je pense que me retrouver ici dans cette position et pas une bonne idée.