Ottawa capitale du Canada. Même pas une semaine que je suis ici. Chaque matin c’est pareil l’espace d’un instant, le temps d’un battement de cil, je me croit être encore à Londres dans le petit appartement qui me servait de logement, puis mes yeux s’acclimate, la mise au point se fait, et je comprend que je suis chez Charlotte ou une odeur de pâtisseries chatouille mes narines. Après quelques minutes je sors de mon lit et part prendre une bonne douche qui termine de me réveiller. Une fois habillé et propre, je prends la direction de la cuisine ou j’avale un rapide petit déjeuner et part en direction du Lycée.
Mais cette journée allée être différente. Vêtue d’un jean bleu nuit, de basket blanche, d’un sweat à capuche noir et d’une veste en jean de la même couleur que mon pantalons, je porte un sac de sport sur l’épaule et mon sac de cour sur l’autre. Dès que j’arrive à mon établissement je file au gymnase ou je passe l’audition pour être sélectionner et rejoindre l’équipe des Chearleader, je sais que si je suis pris je e serais pas le premier garçon de l’équipe, ce qui me pousse à tenter ma chance. L’audition ne dure que quelques minutes ou tu montre tes talents pour intégrer cette équipe, et apparemment l’entrainement fait dans la chambre chez Charlotte et payante car les deux co-chefs m’annonce que je suis pris et m’attendent pour l’entrainement dès le lendemain après les cours, et me donne une tenue que je et délicatement dans mon sac de sport.
Puis après je passe de cours en cours ou à chaque fois j’ai l’endroit à une courte présentation. Le regard des garçons intrigués par ce nouvel élève et les filles glousse sur mon passage. Mais le point marquant de cette journée ce passe juste après le cours d’EPS, alors que je suis entrain de finir de boutonné mon pantalon, une furie débarque dans les vestiaires des garçons, sans se préoccupé des mecs nu, heureusement ce n’est pas mon cas. Elle fonce droit sur le capitaine de l’équipe de Basket : Julian. Elle est en pétard et l’incendie. Julian lui rétorque une saleté et c’est là que je capte son nom June. Elle à du tempérament cette fille. Mais cette dernière remarque l’a fait réagir d’une façon inattendue, moi qui e tenait en retrait le fit passer au premier plan. Elle s’avance vers moi en m’embrasse sensuellement, se collant bien à moi, sa cuisse appuyant contre mon entre jambes, une main dans ma nuque et l’autre sur mes fesses. Doucement elle me propose de la rejoindre dans un café juste après pour en parler. Elle me donne un dernier baiser, lance quelques choses à Juin e art. Pour ma part, j’étais un peu dans un autre monde, mais je finis par malgré tout me ressaisir, je vis alors Julian, s’approcher de moi, vissant son regard injecté de sang sur moi :
« Hey le nouveau, tu aurais pût me dire que tu avais réussir à faire fondre le cœur de glace cette nana, ca m’aurait évité cette petite dispute. Même si tu st nouveau on ne touche pas à la meuf d’un pote »
« Potes ? On est juste en sport ensemble, en plus c’est la première fois que tu m’adresse la parole »
Puis je fini de lasser mes chaussures et quitte les lieux. En quittant le lycée, j’avoue que je n’avis aucune intentions de me rendre au café où devait m’attendre June. Je pris la direction de la pâtisserie où je vis, mais une force invisible, e force à faire demi-tour et rejoindre la jeune fille où effectivement elle m’attendait. Elle me fit un petit signes pour attirer mon attention, je m’assis en face d’elle, je devais avoir l’air un peu perdu, ms c’est plus de l’incompréhension :
« Je suis là. Je t’écoute, pour le baiser à la limite je comprends vis-à-vis de Julian, mais ta main sur mes fesses et ta cuisse contre mon… enfin tu vois »
Je la fixe du regard avec un léger sourire en coin, à la fois curieux, mais aussi amuser. Je me demande bien qu’elle va être son explication, et comme c’est elle qui invite donc j’en profite pour commander une boisson est des quoi grignoter.