La fin de soirée n’était pas une évidence William passait par presque toutes les émotions, il n’avait pas prévu de ressentir cette désorientation avec ce trouble face à des mensonges des deux femmes qu’ils pensaient l’aimer. Léa ne s’était, en aucun cas, inquiété de lui durant tout ce temps, bien qu’il était heureux avec Charlotte, il avait le droit d’être au courant qu’il avait un fils, jamais il n’aurait pensé qu’elles lui mentiraient, c’est vraiment difficile de se rendre compte du manque de confiance en plus du respect qui avait été bafoué. Comment peut-on jouer avec lui de la sorte tout cela par amour ? Sérieusement ? Nous étions si proches et pourtant, William avait du mal à y croire malheureusement, c’est une vérité Léa l’avait quitté en emportant avec elle le secret qu’elle portait son enfant, l’éloignement de lui par amour, comment peut, on séparer un père de son fils ? Il avait beau cogiter dans tous les sens, il n’arrivait pas à comprendre leur façon d’agir dire que sa femme, lui avait menti délibérément, son cerveau fulminait d’incompréhension sa femme lui devait la vérité, il voulait comprendre pourquoi elle n’avait pas été franche avec lui, leur amour aurait pu surmonter plus facilement la situation si elle avait eu le courage de tout lui dire. William est un homme responsable assez intelligent pour faire la part des choses, il ne l’aurait pas quitté pour Léa surtout après tout ce qu’ils avaient vécu.
Bien évidemment, il n’ y avait aucune échappatoire Charlotte et William devaient discutés ensemble sur plusieurs point par chance elle était en accord avec lui sur ce point. Elle avait accepté que l’on en discute si la situation bouleversait William, Charlotte devait se sentir coupable face à ses décisions du passé qui ont un impact aujourd’hui sur la vie de couple, qui était déjà fragilisé par une période de séparation. Voilà que ses révélations apportaient encore des soucis supplémentaires. Charlotte ne possédait pas de whisky ce qui était compréhensible, elle n’en buvait pas, il aurait dû y réfléchir avant de lui en demander malgré tout elle lui proposait du Ardbeg Uigeadail qui pouvait faire l’affaire, mais pour cela, elle devait descendre, du coup, il reconnaît à boire, il voulait des réponses, c'était plus important que de boire un verre.
« Non, laisse tomber, je peux me passer de ce verre d’alcool, je préfère avoir des réponses à mes interrogations, car j’en ai vraiment besoin… Effectivement, ton choix m'a privée de l’existence de mon fils, je ne méritais pas cette injustice, la vérité revient un jour ou l’autre, la preuve, nous sommes face à vous décisions. Léa et toi m’avez écarté de mon fils. Qui te dit que je t’aurais abandonné pour Léa ? Le temps s’était chargé de changer mes sentiments envers Léa, je t’aimais Charlotte, j’ai bien l’impression que vous me connaissiez bien mal ou la situation aurait été compliquée, Léa était partie, c'était son choix sur ce point je les accepter depuis longtemps. La vérité n’aurait pas brisé l’amour que je te porte même si j’ai souffert de la rupture avec Léa, j’avais accepté l’abandon, c'était finit. Sinon jamais nous aurons pu être ensemble. Tu as été là durant cette transition, entre l’abandon de Léa et le faite que j'étais célibataire. Puis nous sentiments et tous les moments que nous avons partagés nous, on ne rapprochait pas parce que Léa était partie, mais parce que je suis tombé sérieusement amoureux de toi Charlotte, notre amour était fort sincère, passionnée et véritable dans la vie, on peut aimer plusieurs personnes d’un amour différent ce qui fut le cas. J’avais tourné la page sur Léa, car j’avais compris qu’elle était partie parce qu’elle ne m’aimait pas. Même si soit disant, on me dit le contraire par amour, on ne disparaît pas du jour au lendemain sans donner d’explication. Que Léa aille refuser de me dire la vérité d’accord, mais toi, tu aurais dû me le dire de cette manière, j’aurais connu mon fils peu importe d’âge qu’il avait au moment où tu aurais eu cette confiance de m’’avertir. La vérité ne vous aurait pas séparé parce que je t’aimais déjà profondément avec un amour sincère Charlotte jamais, je ne t’aurais pas abandonné parce que j’avais un fils avec Léa, mais j’aurais pu être là pour les aider, si j’ai bien compris Léa et Cole ont beaucoup souffert d’une vie qu’ils ne méritaient pas, j’aurais peu à être là pour eux tout en étant ton compagnon. Je t'ai épousé t’aimant de tout mon être nous avons été plus qu'heureux même si nous avons subi quelques turbulences du a nos travails respectifs mes sentiments, nous jamais décliné. Oui, je me serais rapproché d’eux, mais sans briser notre amour, tu aurais dû me faire confiance mon amour. Tu aurais du m’avertir de son état de santé, ils ont vécus dans la misère seul sans personne pour les aidés, elle est mort seul devant le regard de mon fils qui pense que j’en avais rien a foutre d’eux alors que je n’étais même pas au courant de tout çà j’aurais aimer connaitre mon fils étant petit notre lien serait plus évident aujourd’hui car on ne se connait pas, a 16 ans il va être plus que difficile d’obtenir un lien souder, il m’en veut que sa mère soir morte seul, elle a eu un enterrement de misérable. Tu as promis de t’occuper de Cole et moi ? Vous avez exclu de sa vie et aujourd’hui vous en fait de même ? Pourquoi, c’est à toi quelle a confié cette responsabilité ? Je suis son père ? C’est vraiment blessant de ressentir le faite que ni Léa ni toi, vous ne vous préoccuper pas de mon ressentiment d’avoir été éloigné délibérément de mon fils depuis sa conception, a sa naissance et encore aujourd’hui »
William avait si mal d’être évincé de la sorte, c'était comme s’il n’avait jamais eu son mot à dire. Il se sentait comme vide. On lui avait volé une part de sa vie. On l’avait abandonné, menti, trahi, le blessant au plus profond de lui, estiment qu’il n'était rien qu’il n’avait aucun droit. C’est cruel de faire ça à une personne qui a toujours fait de son mieux même s’il n’avait pas toujours pris les bonnes décisions jamais il n’avait reculé que ce soir au travail ou dans sa vie privée. C’est un père qui a tout fait pour sa petite princesse qui ne manque de rien, l’amour qui lui porte est à l’infini. Il aurait aimé être là pour son fils malheureusement, il a vécu dans l’ignorance durant 16 longues années pour en arriver à rencontrer son fils chez sa femme sans vraiment avoir les droits de l’élever. Il avait beau se contenir la douleur ne quittait pas son cœur, c'était si douloureux. Il contenait ses larmes afin de paraître un homme, il ne voulait pas se montrer faible, il déglutissait péniblement sa voix pouvait montrer son mal-être.
« Quand on aime vraiment quelqu’un, on fait abstraction du ressentiment afin de donner une vie correcte à son enfant. Ce que je veux dire si Léa ne m’aimait plus cela n'était pas facile, mais cela n’aurait pas du avoir d’incidence sur Cole, je suis son père que Léa le veuille ou pas, j’avais le droit de connaître mon fils de faire partie de sa vie… Même si j’avais perdu quelques années avec mon fils à cet âge, j’aurais aimé la voix, de manière à être là pour lui quatre ans, ou moins ou plus j’aurais été là pour lui sent t’abandonné Charlotte. Sa volonté m'a coûté des années d’ignorance, Cole devait vivre sans moi…»
Elle le fit attendre quelques secondes en attrapant son téléphone qu’elle lui tendait… William avait pris en main le téléphone de sa femme dans sa main puis son regard fixer sur l’écran voyant les premières photos de son fils, les larmes dévalait son visage le cœur serré de peine de ne pas avoir été là pour son fils. Charlotte s’excusait encore une fois d’avoir caché l’existence de son fils. Il relevait sa tête de manière à la regarder dans les yeux malgré les regards remplis de ce qu’il ressentait, il n’arrivait pas à parler l’émotion était trop forte. Il finit par passer la main sur ses yeux puis il lui dit.
« Léa et toi avez délibérément d’une manière ou d’une autre décidé que bien que Cole soit mon fils, je n’avais pas le droit d’être à ses côtes, vous avez l’une comme l’autre vos motivations que j’ai bu mal à accepter… Mais je ne méritais pas cette pénitence. J’avais le droit d’être là pour mon fils, j’en ai été privé, je le regret, j’aurais aimé être là pour lui aujourd’hui, je ne pourrais jamais rattraper toutes ses années de perdu… Je vais avoir beaucoup de mal à te pardonner Charlotte… Tu es désolée, c’est déjà bien… Je vais avoir besoin de temps pour digérer tout ça. Mais malgré tes choix, qui me font souffrir....je t’aime. Et je veux vivre avec mon fils.»