Je regardais mon père, entre excitation et colère. Il était indéniable que lui partagions quelques points de ressemblances. Il est clair que cette situation n’est simple pour personne. Il à tant de choses à se dire, tant de questions dont je voulais des réponses, mais plus que tout cette colère que je veux déverser sur lui. Je ne veux pas de contact physique, j’ai mis une distance ente lui et moi pour éviter cela. Mais apparemment j’ai mal jugé la distance car je me retrouve dans une étreinte de sa part. Je ne lui rends pas son étreinte, lui me serre, tout contre lui, je laisse mes bras pende e long de mn corps. Même si pour des millions d’enfants dans le monde se faire serrer contre leur papa est normal, ce n’est pas mon cas, et je mets très vite un terme à cet échange.
Je capte très vite qu’il attend d voir ma mère derrière moi, mais non elle n’est pas là et ne le sera jamais. Je suis venus tout seul sans personnes, toutes les personnes que je connaissais sont resté à Londres, ma mère elle est partie pour un monde meilleur comme dise certaines personnes. C’est à se moment précis que j’avais parlait lui demandant de ne pas en vouloir à Charlotte. Ma mère à fait une erreur c’est vrai, mais l’entendre de sa bouche ne fait mal, de quelle droit il la décrit de la sorte. Comment ma mère à put elle être amoureuse de lui, il comprend rien à rien, il veut parler avec ma mère, j’ai envie de lui crier au visage de lu hurler que ma mère et morte. Je crois que c’est clair pourtant.
Puis il parle à sa femme, mon regard se reporte sur ce qui s’appelle la télévision, j’ai très envie de pourvoir l’utiliser, mais automatiquement mon regard sur la petite fille assise, qui visiblement ne comprend pas ce qui se passe, plus intéressait par son dessin par ce qui se passe autour. Quand elle tourne la tête ver moi je lui adresse un petit sourire sincère. J’ai du mal à me faire à l’idée de ne pas être fils unique, j’ai une petite sœur. Puis je reporte mon attention sur Will quand il demande où est ma mère. Charlotte annonce qu’elle va coucher la petite Alice, ce qui va me permettre de rester en tête à tète avec mon père quelques instants. La petite fait un câlin a son père et viens vers moi, Will vient de lui dire que je suis son frère, je et donc a sa hauteur et lui offre un câlin :
« Bonne nuit, u veut que je te dise tu es la plus belle petite fille que j’ai vu de toutes ma vie »
Je ne sais si elle comprend ou pas ce que je lui dis, je lui fais un petit bisou sur sa joue après un petite étreintes et regarde Charlotte l’emmener. Il voulait s’assoir, moi pas du tout donc je reste debout face à lui, il a de la chance que Alice soit la si non il m’entendrait, mais gardant le contrôle je lui dis :
« Tu dis avoir aimé ma mère, ais tu la recherché combien de temps et où, tu aurais était voir sa famille à Ottawa il t’aurait ou elle était. Puis sérieux tu aime une fille et quatre mois tu te mets avec une autre. Tu dis qu’elle a fait qu’elle fait une erreur… Mais tu ne comprends rien, elle a fait ça pour toi, pur que tu puisses avoir cette vie, tu image pas les sacrifices qu’elle à fait pour toi par amour »
Oui je lui en voulais tellement de la vie que j’ai eu, lui qui n’a jamais eu à s’inquiété de quoi il allait manger où il allait dormir, du froid et u confort, tant de sacrifice pour lui et il n’est pas reconnaissant :
« Maman ta aimer, toutes sa vie, les larmes coulent, tu n’arrête pas de demander où elle est, mais apparemment tu ne comprends pas. Elle au jardin du souvenir dans un cimetière miteux de Londres. Elle morte, tu entends mortes, on était que deux à son enterrement, l’homme qui l’a incinéré et moi, elle n’a pas eu un enterrement digne de son nom qu’on n’avait pas l’argent »
Parlait de ça est dure, j’ai l’impression de voir du verre pilé dans la gorge. Il ne savait pas, je le comprends, mais j’avais besoin de lui :
« Je suis venus ici, pour te voir et maintenant quoi… je suis tous seul, ma mère me manque, je veux qu’elle revienne j’ai besoin d’elle »
En larmes fébrile, les nefs lâche cette assurance que j’avais cinq minutes plus tôt à disparut, n’y tenant plus je tourne les talons en m’enfuis dans ma chambre pleurer à chaude larmes, je ne sais si il va attendre Charlotte pour parler et vous venir essayer de me consoler, mais je suis au plus mal.