Fêtons HalloweenL'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
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Sam 12 Aoû - 15:15
TON TITRE LA ! TA CITATION ICI, SI TU VEUX••• L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. J'veux vivre ma jeunesse et crever à l'apogée. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
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<link href="https://dl.dropbox.com/s/ebn8mifp14j46vh/rp003.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp003 style="font-size:12px; font-family:verdana;"><rp003entete style="border-bottom:7px solid #982f2f; height:auto;"><img src="https://zupimages.net/up/23/33/d0l1.gif" class="rp003img1" /></rp003entete><rp003titre style="text-transform:uppercase; font-family:serif; font-size:25px; color:#982f2f; line-height:20px; font-style:italic;">TON TITRE LA !</rp003titre> <rp003citation style="color:#dc5656; font-style:italic; font-family:serif; font-size:14px;">TA CITATION ICI, SI TU VEUX</rp003citation> <rp003pts style="font-weight:bold; color:white;">•••</rp003pts> L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. J'veux vivre ma jeunesse et crever à l'apogée. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. <rp003credit29 style=" border-top: 7px solid #982f2f;"><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank">:copyright: 2981 12289 0</a></rp003credit29></rp003>
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Sam 12 Aoû - 15:24
TON TRITRE DE SUJET
L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
<rp006txtrp style="color:#303030; font-family:arial; font-size:13px;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp006txtrp></rp006fond2></rp006fond><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank">:copyright: 2981 12289 0</a></credit29>
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Mar 15 Aoû - 22:51
TON TITRE ICI !
L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
<rp006txtrp style="color:#737373; font-family:arial; font-size:13px;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp006txtrp></rp006fond2></rp006fond><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> 2981 12289 0</a></credit29>
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Mar 15 Aoû - 22:56
TON TITRE, LA !
L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
<rp008txt style="text-align:justify; font-family:verdana; font-size:12px; color:#223546;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp008txt></rp008fond></rp008bande></rp008><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> 2981 12289 0</a></credit29>
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Mar 15 Aoû - 23:25
TON TITRE, ICI !L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
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<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Kelly+Slab' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://dl.dropbox.com/s/4cuptmny87cy2bu/rp008.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp008><rp008entete><rp008img1 style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/td3y.gif); background-size:120%; background-position:center center; border: 10px solid white; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img1><rp008img2 style="background:url(https://64.media.tumblr.com/22fcd1e60860e857563b6261c170461b/504b7e37574fcdc1-e9/s540x810/715cafb9fd1d1aaa29c3bfc7bd3076b7aef8c303.gif); background-size:110%; background-position:center center; border: 10px solid white; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img2></rp008entete><rp008bande style="border-right: 10px solid #E74C3C;"><rp008fond style="background:#CBCDCE;"><rp008titre style="font-family:kelly slab; color:#E74C3C; font-size:18px; line-height:18px; text-transform:uppercase;">TON TITRE, ICI !</rp008titre><rp008ligne style="border-bottom:1px solid #fff;"></rp008ligne><rp008txt style="text-align:justify; font-family:verdana; font-size:12px; color:black;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp008txt></rp008fond></rp008bande></rp008><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> 2981 12289 0</a></credit29>
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TON TITRE, LA !L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
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<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Kelly+Slab' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://dl.dropbox.com/s/4cuptmny87cy2bu/rp008.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp008><rp008entete><rp008img1 style="background:url(https://zupimages.net/up/23/28/cqf0.gif); background-size:100%; background-position:center top; border: 10px solid white; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img1><rp008img2 style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/3s9i.gif); background-size:100%; background-position:center top; border: 10px solid white; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img2></rp008entete><rp008bande style="border-right: 10px solid black;"><rp008fond style="background:gainsboro;"><rp008titre style="font-family:kelly slab; color:black; font-size:18px; line-height:18px; text-transform:uppercase;">TON TITRE, LA !</rp008titre><rp008ligne style="border-bottom:1px solid #fff;"></rp008ligne><rp008txt style="text-align:justify; font-family:verdana; font-size:12px; color:black;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp008txt></rp008fond></rp008bande></rp008><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> 2981 12289 0</a></credit29>
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<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Kelly+Slab' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://dl.dropbox.com/s/4cuptmny87cy2bu/rp008.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp008><rp008entete><rp008img1 style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/v8c7.gif); background-size:118%; background-position:center center; border: 10px solid #333; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img1><rp008img2 style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/z9zg.gif); background-size:151%; background-position:center center; border: 10px solid #333; box-shadow:0px 0px 1px #666;"></rp008img2></rp008entete><rp008bande style="border-right: 10px solid #ffcc66;"><rp008fond style="background:#111;"><rp008titre style="font-family:kelly slab; color:#ffcc66; font-size:18px; line-height:18px; text-transform:uppercase;">TON TITRE, ICI !</rp008titre><rp008ligne style="border-bottom:1px solid #fff;"></rp008ligne><rp008txt style="text-align:justify; font-family:verdana; font-size:12px; color:darkgrey;">L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp008txt></rp008fond></rp008bande></rp008><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank">:copyright: 2981 12289 0</a></credit29>
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Mar 15 Aoû - 23:48
TON TITRE, LA !J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?
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<link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Loved+by+the+King" rel="stylesheet"><link href="https://dl.dropbox.com/s/sqr9g8jb05iebkf/rp019.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp019 style="background:#d7e8d5; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019entete style="background:white; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019img style="background:url(https://64.media.tumblr.com/47d8eafb06e9eaf05e1ce65d04d3df28/504b7e37574fcdc1-f3/s540x810/536ff55cc92fba1610de23b0d4570176e5c225b6.gif); background-position:center center; background-size:100%"></rp019img><rp019img style="background:url(https://64.media.tumblr.com/0183d034b23cc7780cba0462f179e3a4/504b7e37574fcdc1-06/s540x810/a8c4bca6d67485499d8c834138ffd05ff7e3ff80.gif); background-position:center center; background-size:110%"></rp019img><rp019titre style="background:#678e65; color:#fff; font-family:loved by the king; font-size:21px; text-align:center; line-height:21px; text-transform:uppercase; text-shadow:0px 0px 1px">TON TITRE, LA !</rp019titre></rp019entete><rp019txtrp style="background:white; margin:auto; box-shadow:0px 0px 1px grey; color:black;">J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?</rp019txtrp></rp019><credit29></credit29>
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TON TITRE, ICI ! J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?
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<link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Kristi" rel="stylesheet"><link href="https://dl.dropbox.com/s/sqr9g8jb05iebkf/rp019.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp019 style="background:#d7d5e8; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019entete style="background:white; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019img style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/cb8t.gif); background-position:center center; background-size:cover"></rp019img><rp019img style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/ong7.gif); background-position:center center; background-size:cover"></rp019img><rp019titre style="background:#6a658e; color:#fff; font-family:Kristi; font-size:33px; text-align:center; line-height:15px; text-shadow:0px 0px 1px">TON TITRE, ICI !</rp019titre> </rp019entete><rp019txtrp style="background:white; margin:auto; box-shadow:0px 0px 1px grey; color:black;">J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?</rp019txtrp></rp019>
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Mer 16 Aoû - 0:04
TON TITRE, LA !J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?
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<link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Trocchi" rel="stylesheet"><link href="https://dl.dropbox.com/s/sqr9g8jb05iebkf/rp019.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp019 style="background:#e8d8d5; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019entete style="background:white; box-shadow:0px 0px 1px grey;"><rp019img style="background:url(https://64.media.tumblr.com/74655614cebcaf210a4a3a6856c5deff/504b7e37574fcdc1-c1/s540x810/374cec65df7f6dd50309316625dc200b08096c16.gif); background-position:center center; background-size:cover"></rp019img><rp019img style="background:url(https://zupimages.net/up/23/33/3w06.gif); background-position:center center; background-size:cover"></rp019img><rp019titre style="background:#8e6b65; color:#fff; font-family:trocchi; font-size:11px; text-align:center; line-height:20px; text-transform:uppercase; text-shadow:0px 0px 1px">TON TITRE, LA !</rp019titre></rp019entete><rp019txtrp style="background:white; margin:auto; box-shadow:0px 0px 1px grey; color:black;">J'serais tenté de dire que la connerie humaine se trouve partout. Mais l'endroit où on trouve la plus grosse concentration de la déchéance, c'est ces soirées bourrées de jeunes. Ces soirées clandestines organisées dans le dos de papa et maman. Ces soirées où tu dis merde à tes voisins. Ces soirées où, dès le début, t'as une nana qui a déjà tombé le tee-shirt et qui tient les cheveux de sa copine qui gerbe ses tripes dans le caniveau. Ces soirées un peu plus sauvages que prévu. Rien de rangé. C'est l'bordel.
Je n'aime pas les gens. Je n'ai aucun espoir pour l'humain. Mes semblables me dégoûtent autant que moi-même. Mais ce soir, j'ai envie de me noyer dans la foule, de me perdre un peu, de retrouver un peu ce qui a presque toujours fait ma vie. Ma vie a réellement commencé lors de mon premier shoot. J'veux une cuite. J'veux un trip. Une pouffiasse, blonde comme la Paris Hilton qu'on a toujours connu. Parce que j'en ai rien à foutre des jugements. J'renie la vie depuis mon plus jeune âge. J'lui dis non, j'veux pourrir. Être mort avant la mort. Que mon sang devienne une purée noire qui me sort par tous les orifices. J'veux mourir lors d'une hallucination. J'veux mourir bourré. J'veux mourir dans d’atroces souffrances. Très lentement, mais au zénith de ma vie.
Et je me décomposerai au fond d'un trou qui sent la terre moisie.
Mon cerveau n'est qu'un cheminement de pensées, pas toujours logique, certes, mais qu'est-ce qu'on en a à foutre ? Après cette journée de travail, j'avais juste envie de m'enfoncer dans les méandres de l'alcool et de la dope. Que le temps d'une nuit, la vie ne suive plus son cours. L'égarement me tente bien, après tout, c'est bon de sortir un peu du sentier de temps en temps. Ainsi, j'ai débarqué dans cette soirée. Ce genre de soirée où tu connais pas forcément l'organisateur, uniquement le pote d'un pote d'un pote d'un pote [...] qui t'en a parlé et t'a invité. J'en ai rien à foutre de taper l'incrust' comme ça. Après tout, y'a quoi de mal à ça ?</rp019txtrp></rp019><credit29> </credit29>
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Qwantify Lover
Mer 16 Aoû - 0:10
❝ Ta citation, ici ! ❞TON TITRE DE SUJET, LA !L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. J'veux vivre ma jeunesse et crever à l'apogée. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans. 2981 12289 0
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<link href='https://fonts.googleapis.com/css?family=Overlock+SC|Dekko' rel='stylesheet' type='text/css'><link href="https://dl.dropbox.com/s/4hf0jnlvv5w0599/rp009.css" rel="stylesheet" type="text/css"><rp009><rp009citation style="color:plum; font-family:dekko; font-style:italic; font-size:14px; line-height:16px; border-bottom:1px dotted #3A020D;">❝ Ta citation, ici ! ❞</rp009citation><rp009txt style="font-family:verdana; font-size:12px;"><img src="https://zupimages.net/up/23/33/nt6v.gif" class="rp009imgdroite" style="border-radius:0px; box-shadow:0px 0px 5px plum; border:none; padding:0px; width:179px;" /><rp009titre style="font-family:overlock sc; font-size:25px; color:plum; text-transform:none; line-height:27px; text-shadow:2px 2px 1px #3A020D;">TON TITRE DE SUJET, LA !</rp009titre>L'écoeurante mélasse de mes pensées s'échappe peu à peu en quelques volutes de fumée. Elles se tordent et me rappellent mon instinct premier. Le chanvre brûlé m'apaise, lentement, je m'évade loin des autres. Loin de cette humanité qui fait qu'on en oublie d'être humains. Notre bipédie nous a rendus prétentieux et pourris à l'intérieur. Je vendrais au diable tout le matérialisme humain, tout ce qui fait qu'on est des terroristes de nature, tous les liens qui nous unissent juste pour qu'on en ai plus rien à foutre. L'Homme est dégueulasse. J'veux courir à poil dans les près et m'abreuver de l'eau qui nous tombe du ciel. J'veux me laver dans une rivière glaciale et bouffer de l'herbe comme une chèvre. Mais j'suis coincé dans cette décharge de connerie humaine où on me fout jamais la paix. Je tire encore sur ce cône aux merveilles avant de le passer à mon voisin que j'ai oublié l'espace d'un instant. Je pose ma tête contre les briques polluées pour le regarder. Il n'a jamais vraiment eu d'ambition dans la vie mis à part celle de se laisser aller au tourbillon immaculé de tous ces nuages que la dope nous apporte immanquablement. Nous n'avons pas les mêmes idéaux, il est bien trop accroché pour ça. Il s'emmerde encore trop à avoir de l'espoir pour la nature humaine, moi j'ai vite compris qu'elle était moisie, elle est juste bonne pour finir cramée et répandue dans le grand canyon. Mes yeux mi-écarlates et vitreux glissent une vue floue sur son air de soumission maladive, il a peint son visage de gris pour toujours. Il se fane, il se fade, très lentement il perd la surface de vue. Tant de passivité dans son comportement, tellement, tellement pathétique. J'veux le frapper jusqu'à ce qu'il sorte la tête de l'eau. J'veux le secouer pour qu'il respire comme si c'était la première fois qu'il trouvait l'oxygène. Il vieillira avant l'âge, ça m'écarte de lui. J'veux vivre ma jeunesse et crever à l'apogée. Foncer dans le mur de toutes mes forces et mourir à trente ans.</rp009txt></rp009><credit29><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> 2981 12289 0</a></credit29>
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Mer 16 Aoû - 0:14
TON TITRE, ICI !Prénom & PrénomJe suis de ceux qui en veulent toujours plus. Je suis de ces avides qui s'attaquent à trop avares. Je suis de ceux qui grattent pour l'amour et qui ne récoltent que de la merde. Je suis de ceux qui sont incompris. Je suis de ceux qui ne comprennent pas. Je me prends l'injustice comme un bus en pleine gueule. Et pourquoi moi j'y ai pas droit, à ce que bien d'autres ont ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Les mots du brun, ils s'abattent, tels mille et un poignards en plein buste, déchirant les restes de mon cœur déjà bien foutu en lambeaux. Qu'est-ce qui cloche chez nous ? Et pourquoi moi j'y ai pas droit ?
Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
Pendant un moment bien trop long, je reste planté comme un con. Mi-figue, mi-mes couilles, putain. Il m'a pas frappé. Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait décroché une droite bien placée. Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait flanqué son genou dans les couilles. Crimson Day
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Que mes tympans explosent. Que la surdité se pointe. Je préférerais crever que d'entendre ça.
Je sais pas si il essaye de me raisonner. Je sais pas si il cherche à me blesser. A me briser. Je sais pas ce qu'il veut. Mais ça me tue. Mais ça me rend fou. Il ne voit pas la gravité que je remarque. Merde aux conséquences. Et qu'est-ce que je suis censé faire ? Et qu'est-ce que je suis censé dire ? Quand je constate à quel point il en a rien à branler de ma gueule, à quel point il me rejette alors que ma vie tourne littéralement autour de son petit nombril. Je sais que c'est lamentable, je sais que c'est même pire que ça. Je suis pathétique et pourtant j'y peux rien. Ce mec je l'ai pire que dans la peau. Je l'ai dans les veines, je l'ai dans l'air que je respire, je l'ai partout. Il me transforme en créature, un truc à peine encore humain. Ou peut-être trop humain. Je me laisse atteindre, je me laisse fracasser. Je vais en crever. Comment je pourrais ne pas crever quand je vois à quel point il me balance. Il s'en bat les couilles de moi. Putain… Je sais pas si je dois chialer ou gueuler. Je sais pas si je dois péter les plombs ou juste me barrer. Il me fout à bout de nerfs avec si peu. Je suis à fleur de peau. Rien que l'idée que je puisse encore le perdre me rend malade. Alors que ouais, je me rends bien compte que lui, il serait bien content de se débarrasser de moi. C'est bien ce que j'étais censé comprendre, non ? C'est bien ce qu'il a essayé de me faire passer comme message, non ?
Pendant un moment bien trop long, je reste planté comme un con. Mi-figue, mi-mes couilles, putain. Il m'a pas frappé. Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait décroché une droite bien placée. Il m'a fait encore plus mal que s'il m'avait flanqué son genou dans les couilles.</cd2fonda></cd2><creditscd><a href="http://crimsonday.forumactif.com/" target="_blank"> Crimson Day</a></creditscd>
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Mer 16 Aoû - 0:31
TON TITRE, LA !Pseudo x Pseudo x PseudoLorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Vivamus sit amet risus ac nulla auctor laoreet vel ut nibh. Ut nec leo fermentum, ullamcorper odio eget, consequat nibh. Mauris elementum tristique libero, sed luctus turpis facilisis ac. Sed facilisis nisl sit amet lacinia vehicula. Praesent condimentum volutpat lobortis. Morbi quis tincidunt lorem, in tincidunt lacus. Nullam lobortis auctor adipiscing. Curabitur vitae porttitor justo. Morbi eu dolor eros. Integer ut urna bibendum, condimentum justo vitae, dignissim neque. Pellentesque consequat urna sed quam pretium hendrerit. Pellentesque dui nibh, tincidunt et cursus sed, gravida quis lorem. Quisque semper nibh quis quam egestas, non. YOU_COMPLETE_MESS
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