01 Vivre à deux

Vivre à deux

Caleb regardait l’homme avec lui dans la maison, les bras croisés sur son torse.  Ce type ne voulait pas s’occuper de la protection de Caleb, et ce dernier ne cachait nullement  sa contrarierais, du côté de l’adolescent, il n’appréciait de devoir vivre avec ce mec désagréable. La discussion sur les règles n’eut pas l’effet prévu. Pas  de grand frères et hors question d’argent de poche. L’ados ne put retenir un soupir d’agacement. L’agent du FBI pris un sandwich sans en donner un au jeune homme. Sa réaction surpris Caleb, l’agent tenait il un peu à lui. Son trouble se vit il sur son visage, puis Nick parlât de l’infirmière. Nick confirma ne pas savoir la nature de sa blessure, mais lui dit de ne rien dire à l’infirmière, dans sa barbe Caleb marmonna :

«  Je sais très bien, je suis pas débile »

Nick se lamenta su le nombre de meubles dans la bâtisse, il semblait perdue u milieu des meuble, l’adolescent le va les yeux, pour un peu il aurait frappé son front avec sa main, mais le jeune se retint de justesse, décidant de ne pas relever cette question qu’il trouvait stupide. Nick se posa sur le canapé rapidement rejoins par le plus jeune des deux qui prit dans un canapé individuelle posant les pieds sur la table basse. Caleb ne dit rien regardant les agissements de son « Grand frère », le dossier ne l’intéressais guerre, mais les armes à feu si, il garde une rancune pour le commanditaire du meurtre de sa mère, il savait qui étai à l’origine de ce crime, et un sentiment de vengeance l’habitait depuis ce jour.

Puis sans crié gare l’agent interpella le jeune homme il revint sur les règles, Caleb devrait les suivre, mais lui aussi avait des souhaits que Nick devrait réaliser :

«  Pour le travail de groupe j’irais à la bibliothèque, de toutes façon tu es si heureux d’être ici avec moi, je ne vais te faire connaître d’autre ado, tu risquerais de péter un câble. Pas de copines ? Pff et on parle d’une vie d’un ados normal, je ne sais pas toi, mais je ne suis pas moine et j’ai des besoins physique mec. Pour les cours je promets rien, je ferais ce que je peux, de toutes manière pour ce que ça sert les cours. Si tu ne touche pas à mes affaires je ne toucherais à ton bazar, trop peur de chopper un truc, vu comme tu vis. T’inquiète je vivrais comme je le souhaite, une envie ? Bon donc si j’ai envie de pisser je dois venir te trouver ?  Savoir avec qui te servira à rien, je n’ai pas l’intention de te parler des personnes que je vais faire connaissance, et de dire où je suis constamment, je n’ai pas de tel portable, tu as écouté à l’aéroport tout à l’heure ? »

Caleb fit un courte pose avant de reprendre sa tirade, histoire que les choses soit bien claire :

«  Je ne cuisine pas, ne jardine pas, ni rien. Je ne suis pas ton esclave c’est clair ? Je suis prêt à jouer des apparences en public. Cette situation ne me plaît pas non plus, mais on doit faire avec. Il me faut de l‘argent de poche pour mon déjeuner au lycée, sauf si tu décide de me le préparer tout les jours, ou de me récupérer tout les midis, on sait jamais peut être que déjà tu peux plus te passer de moi. La télé du salon c’est pour moi, toi tu en une dans ta chambre. Et dernière chose mes véritables envies tu n’es pas en mesure de me les contentais »

La dernière parti de ce monologue, fut dit d’une manière triste, la vois tenant à peine, un voile triste dans les yeux de l’ados, ce dernier ayant dit ce qu’il a dire, mangeant son sandwich sans parler.

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Mais la crainte du jeune homme fut vite balayé. En effet Nick lui apporta son aide en le conduisant dans la salle de bain, pour lui faire un pansement provisoire. Le tout en évitant a Caleb de mettre du sang partout. Voir le futur profiler jouer aux infirmières, aurait sûrement fait rire Cal, si ce dernier n'avais pas si mal. Quand Nick application du désinfectant, l'ado serra les dents. Mais ce picotement était rien comparé à la douleur ressentie au moment où il avait reçu cette balle.

Le gosse n'était plus vraiment au top de sa forme. Il se rendit dans sa chambre. La télé avait été branché. Le jeune prit quelques minutes pour régler l'appareil. Il finit par se caler devant une émission quelconque. Mais au final Morphée fut le plus fort et l'ado s'endormit.

Ses rêves furent peuplé de personnes lui tirant dessus, de Nick et sa mine mécontent. Des paroles de ce dernier a sa mère. Sa nouvelle et ancienne identité qui s'entremêlent. Les paroles de Charlie lui interdisant d'en parler à qui que se soit... Mais inévitablement son esprit dérivât vers la vidéo et les propos terrifiant du chef de gang et la mort de sa mère. C'est de revivre en pensé cette situation qui le fit se réveiller et revenir à la surface.

La maison était silencieuse. Caleb se rendit au rez de chaussée espérant y retrouver Nick. Mais l'agent du FBI, reste introuvable. L'ado sentit une sorte de panique monter en lui. Oui avec Nick leur relation est pas la meilleure au monde. Caleb avait droit a un agent sympa qui prendrait mieux soin de lui, comblant ses problème affectif et ses inquiétudes naissantes et pas un mec avec qui les confrontations son monnaie courante. Mais bizarrement Caleb, même s'il ne l’avouera jamais, a confiance en Nick.

Lentement Caleb réussi à ce calmer. Il reprit le dessus refoulant sa peur. Il vit alors qu'il n'avait pas ouverte celle menant au garage. Le jeune se souvint alors que Nick lui avait dit qu'il y serait, doucement Caleb ouvrit la porte et vit Nick faire de la corde a sautés. Doucement l'ado referma la porte sans faire de bruit. Son cauchemar a sérieusement ébranlé le jeune homme. Le visage de Graysson et Diego hante toujours l'esprit de Caleb. Ne réfléchissant pas aux conséquence de son actes, L'ado veut se procurer une armes, dans quelques jours il sera de retour à Los Angeles et il se vengera en tuant Diego et reprendre le cour de sa vie, et sa véritable identité. Le jeune garçon se rend dans la chambre de Nick fouille ses affaire et retrouve le sac en toile jaune et s'empare d'un des revolvers, enfreignant ainsi une des règles, mais le gosse n'y pense pas. Il redescend, au salon il part à la recherche d'un des chargeurs. Au moment ou il met enfin la main sur la boite, Nick fait son entrée, le jeune se retrouve face à son protecteur... 

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Nick avait eut besoin de s'isoler pour décompresser. Pendant qu'il sautait tout lui revenait en tête. Il avait la sensation de ne plus être lui même. " Caleb, voici Nick Alvarez ton"..." Pseudo frère !"..."ils m'ont demander un agent de confiance qui est presque un fantôme"..."De un, quand on est que tout les deux, il y a pas de grand frère qui tienne."..."Si tu ne touche pas à mes affaires je ne toucherais à ton bazar, trop peur de chopper un truc, vu comme tu vis."..."Je ne suis pas ton esclave c’est clair ?"..."tu doit faire la prière avant le repas"..."C'est quoi le dossier du gamin ? Je m'en fou que ce soit classé, dis moi ce qu'il en est. Sa blessure, c'est pas un truc anodin, c'est un impact de balle. De gros calibre. C'est tout récent." Tout ceci tournait en boucle dans sa tête. Comment il en était arriver là ? Avait-il fait une erreur ? Etait-ce une punition ? C'était peut être égoïste de sa part de pensé ça, mais c'était comme ça qu'il le voyait. Il stoppa son entraînement quand il remarqua que son débardeur était tremper. Le jeune homme rangea la corde, défit ses bandes et regarda l'heure sur son portable. Le gamin n'était pas venue le voir, peut être qu'il s'était endormit. Nick reprit son souffle, et ensuite il ouvrit la porte du garage pour se diriger vers la cuisine, il prit une bouteille d'eau dans le frigo et remarqua que le gamin était dans le salon, sur le coup il ne pensa pas à mal, il commença à parler :

"Je pensais commander des piz..." 

Il se stoppa car  il vit le reflet de l'une de ses armes, son sang ne fit qu'un tour. le souvenir de son frère étendue sur le parvis de leur maison le rendit dingue. Il s'avança tel un prédateur dans le salon, il fit au gamin : 

"Tu comptes faire quoi avec ça hein ? Tu veux te faire justice ? Alors il va falloir avoir du cran gamin !" 

Nick avait un regard de tueur, le genre de regard avec lequel on ne rigole pas, le genre de regard qui en dit long sur le passé de l'agent, le genre de regard qui donne des frissons. Il s'avança de plus en plus vers Caleb et il fit en haussant le ton : 

"Tu veux descendre quelqu'un hein ? Alors vas y tire ! Tire maintenant !!"

 Fit-il en montrant son propre torse au gamin. Il lui cria de nouveau :

 "Bah alors qu'est-ce que tu attends, hein tu veux être un homme ? Alors vas y appuis sur cette putain de gâchette !!!" 

Nick ne voulait pas que Caleb le descende, mais il le voyait au regard effrayer du gamin, il en était pas capable, peut être plus tard, mais pas là. Nick n'attendit pas plus longtemps, il attrapa l'arme des mains du gosse et d'un geste agile et répété un millier de fois, il retira le chargeur. Il glissa l'arme dans son dos, à la ceinture de son bermuda, enfourna le chargeur dans sa poche et  s'approchant tellement prêt de Caleb que celui-ci pouvait limite sentir la chaleur du corps de Nick qui s'évaporait, ainsi que la colère, il fit :

"La prochaine fois que tu fouilles dans mes affaires, je te jure que tu finiras au fin fond du pays à traire les vaches avec des agents qui te colleront un millions de règles et aucun portable dans tes petites mains ! Pigé ?!" 

Nick s'écarta ensuite et d'un coup de colère il cogna dans une des chaises de la table. Il soupira. Mine de rien, cette altercation l'avait mis bien en colère. Il le regarda et frappant son propre front avec ses doigts il fit à Caleb :

"Mais merde il t'es passé quoi par la tête ? C'est quoi ton issus hein ? Tu veux te venger de quelqu'un ? Tu veux le descendre ? Faudrait être moins frileux parce que ce sont eux qui vont te descendre ! Tu crois que j'ai pas compris dans quel merdier tu es ? Ta blessure c'est un impact de balle, de gros calibre, le genre de calibre que tu trouves dans les gangs ! Et toi petit gosse de quoi 15 ans, tu veux aller en dégommer un ? Mais va falloir atterrir petit ! Tu n'es pas dans un film, met toi ça dans le crâne !"

 Soupirant il regarda le gosse. Il allait faire quoi maintenant. L'attacher pour plus qu'il ne touche à ses affaires ? Il se dirigea vers la table et prit la boite avec le deuxième chargeur, il y rajouta l'autre, et la ferma. Il regarda Caleb et il lui dit en lui montrant l'objet, et sans crier surtout :


 "Ceci c'est pour notre protection, si tu joues avec, si les touches, ou si tu t'amuse à en parler à qui que se soit, on est mort, tout les deux....C'est assez clair pour toi ?" 

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Nick fit son apparition, apparemment il voulait commander des pizzas, Caleb n’aurait pas dit non. Nick avança vers l’ado dans une attitude que je qualifierais d’inquiétante. Cal sentis un frisson de peur le parcourir, reculant d’un pas. Il en aurait fait bien plus, mais il était dos au mur. Nick avais très clairement compris ce qu’avait l’ados en tête. Se faire justice, assouvir une vengeance qui gronde dans les veines du plus jeune des deux. Nick un regard qui terrifiait Caleb, là le jeune n’osait pas ouvrir la bouche et d’envoyer une remarque bien sentie. L’agent se faisait vraiment trembler Caleb, le gosse ne sentait plus vraiment en sécurité, il respirait avec un peu de difficulté.
 



 «  Je parle et comprend parfaitement l’espagnol, c’est un peu comme ma deuxième langue maternel, de à ou je viens, apprendre cette langue et une question de vie ou de mort. Met toi cinq minutes à ma place, tu as une vie parfaite toi. On te dit presque tout, moi on me cache tout. Malgré Vance qui dit, je reste avec toi quelques jours. Alors pourquoi une nouvelle identité, une nouvelle maison, et m’avoir inscrit dans nouvelle école ? Vous me mentez tous. Je veux retournez à Los Angeles et reprendre ma vie »

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Nick Avec ce qui venait de se passer il était normal que l'adolescent n'est pas réellement confiance en Nick. Bien que l'agent lui ait clairement fait comprendre que le danger était plutôt dans les actes fait et non ce qui "pourrait" arriver. Il était clair que Nick c'était énerver et il avait pousser à bout le gamin, de façon à ce qu'il comprenne ce qui pouvait arriver. Nick reprenait petit à petit son souffle et ses esprits aussi. Il devait rester calme, et ne pas prendre tout ça trop à coeur. Caleb s'était assis par terre au moment où Nick avait shooter dans la chaise. Celle-ci avait finit par terre le long du mur. Elle n'était pas cassé et même si ça avait été le cas, clairement Nick s'en fichait. Puis, il remarqua que Caleb se releva. Il porta son regard vers lui. Le gamin reprit la parole avec un regard aussi dur que celui de Nick. Il lui demanda alors qui pouvait le protéger réellement, que ces hommes étaient prêt à tout et que si il lui demandait de choisir entre lui et sa mère, Nick choisirait sa mère. Le latino ne pouvait pas mentir, mais il n'était pas d'accord avec la façon de réfléchir de l'adolescent. Et puis il comprit également que le gamin avait écouter sa conversation. Nick serra la mâchoire. 

"Tu es sérieux ? Non seulement tu fouilles dans mes affaires, mais tu m'espionnes aussi ? Il y a d'autres choses comme ça que tu comptes me faire ou quoi ? Pour répondre à ta question, je suis un agent sur entraîner, et crois moi qu'ils sont pas prêt de pouvoir s'en prendre à ma mère !"

Pour ça faudrait qu'ils sachent qu'elle nom elle a.  Car elle ne portait pas le nom de Nick. Le latino écouta ensuite les infos que le gamin lui expliqua. Un lieu ou la langue espagnol était une langue première, c'était que c'était les bas fonds de la ville. pas que ce soit toujours le cas, mais les trois quarts du temps c'était le cas. Le jeune homme croisa les bras, il ne préféra pas déblatérer sur le sujet de qui a vécue une meilleure vie, car franchement les deux avaient eut un début de vie et une adolescence merdique. Mais Nick ne reviendrait pas la dessus. Il fit à l'adolescent :

"C'est pas parce que tu comprends ma langue que tu as le droit de m'espionner. Et toi qui écoute mes conversations, tu dois savoir que j'en sais pas plus que toi. On ne m'avait même pas dit ce que tu avais à l'épaule. Alors si tu estimes que tu es à plaindre, crois ce que tu veux, mais ne crois pas que ma vie est facile et toute belle Caleb."

Nick marqua une pause. Il ne pouvait pas lui révéler quoi que se soit sur lui, car c'était pas ce que Nick voulait. Que pouvait-il lui dire ? Qu'il était un agent fantôme parce que Nick n'avait aucune attache ? Personne ne savait pour sa mère en dehors de Charlie, et encore même elle il fallait la trouver. Aller la chercher au milieu d'un bâtiment fédéral n'était pas la meilleure idée du siècle. Mais Nick était conscient que le gosse devait au moins savoir la vérité sur l'affaire. Jugeant qu'il devait être honnête et il lui dit ce qu'il avait deviner.

"Je ne sais pas ce qui se passe, mais de mon expérience, je peux te dire que tu n'es pas là pour quelques jours. Cela va prendre du temps, et que tu le veuilles ou non, tu ne rentreras pas à Los Angeles maintenant. On va être obligé de cohabiter. Donc les règles on les respecte, pigé ? Oh, et comme tu l'auras comprit, je veux rien de toi sur les réseau sociaux, pas de photo, pas d'infos."

Nick ne savait pas si il pouvait lui faire confiance ou non. Après tout, ce gamin était capable de mentir, ou de lui cacher des choses et Nick venait de s'en rendre compte. Alors il se calma un peu et soupirant de nouveau, il fit à Caleb :

"Ecoute, je sais que tu n'es pas ravie de tout ça, et crois moi, moi non plus. Cependant on a pas le choix. C'est mon boulot tout ça, et à l'heure actuelle mon boulot est de te protéger. Alors fait ce que je te dis, et tout se passera bien."

Marquant une pause, Nick grimaça un peu et reprit la parle ensuite afin de passé à autre chose car lui, il était clairement pas à l'aise avec ce genre de conversation :

"Va te faire une toilette et te changer, je vais commander des pizza. La journée a été longue et je pense que tu vas avoir besoin de te reposer."

Nick ne savait pas quoi dire d'autres. Que pouvait-il faire ? Il n'en savait pas plus que lui sur tout ça, et encore si, au fond Caleb devait en savoir plus que Nick, car l'adolescent était au courant de l'affaire, tendit que Nick, bah non, on ne lui avait rien dit. Le latino se frotta le crâne. Il ramassa la chaise et la remit sur pied, puis il commanda sur son portable trois pizza. Il avait faim, mais il comptait aussi en garder pour le lendemain. Il se posa seul sur le comptoir de l'espace de cuisine. Il fit tomber sa tête dans ses mains et se demanda comment il allait faire pour réussir cette mission. Il était complètement dépasser par les événements et même si il n'avait pas envie de le montrer, il était certains qu'un jour Caleb le verra

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«  Je ne t’espionne pas bouffon, je sais parler espagnol c’est tout. Essaye le chinois, là je connais pas»
 
Caleb venait de cracher cette phrase, avec un telle force, qu’une chose était sûr, l’adolescent est en colère contre l’agent. En réalité la mère de Nick il en avait rien, ce qu’il n’avait pas envie d’entendre cela, il voulait que Nick lui montre qu’il est prêt a faire son maximum pour son protéger, Caleb avait besoin d’être rassurée, mais Nick ne semblait pas être en mesure de lui dire. Nick n’avait pas eu la vie parfaite et alors, lui avait encore sa mère et peut être de la famille, lui il était seul au monde, si il venait à mourir personne le pleurerais, le seul attrait que comporte Caleb, c’est le témoignage qu’il peut apporter dans une affaire rien de plus.
 
Nick lui interdisais les réseaux sociaux en quelques sorte pas de photos ni d’infos top personnelle qui pourrait indiquer qui il est et où il se trouve. Le jeune regarda l’agent avec air qui veut dire «  Je sais je ne suis pas stupide ». Mais est ce que Nick le trouvait stupide ? Au vu des derniers agissements de l’ados, ce serait logique, Cal n’a rien fait pour démontrer le contraire en même temps. Cette situation ne plait à aucun des deux, mais Nick enfonçât le clou, Cal était qu’un boulot de plus, donc la sensation de solitude se fit sentir encore plus. Il sentait des larmes lui piquer les yeux, mais il serra les poings, il ne pleurerait pas devant l’agent, non jamais.
 
Nick demanda à Caleb d’aller faire un brin de toilette et de se changer pour le repas. Sans rien dire, il prit la direction des escaliers, il se retournât, il avait envie de demandai un truc à Nick :
 
«  Nick ? Donc pour toi je suis… Laisse tomber »
 
La tête baissé, Caleb gravit les marches menant à l’étage. Arrivé dans sa chambre, il allât directement à sa penderie, niveau vestimentaire, il n’avait que ceux qu’il avait sur lui en quittant Los Angeles. Il sortit son téléphone portable, il regardât sa liste de contacte, il n’y avait qu’un numéro prêt enregistrer celui de Charlie. Il devait être le seul ado sur terre à avoir un nombre si limité de contacte, même pas celui qui est censé être son frère, n cas d problème il ne pouvait même pas contacter l’agent. Il entra le numéro de son agent de liaison, au bout de trois sonnerie un petit clic s fit entendre
 
«  Agent Charlie Cook »
« Charlie… »
«  Caleb, c’est toi ? Et mes que t’arrive t’il tu as une voix bizarre »
«  Ca va pas le faire avec Nick, je veux vivre avec toi »
«  Caleb, Nick est le meilleur agent que je connaisse, laisse lui une chance, tu ne peux pas vivre avec moi on en à déjà parler dans l’avion »
«  Tu as dit que je pouvais décider quoi faire concernant le programme des témoins ? »
«  Oui évidement, mais réfléchit bien, Caleb, tu ne seras plus protégé, pense à ta mère… »
«  Je veux rentrer à LA »
« Caleb je t’en pris, passe moi Nick »
«  Il est en bas, il comprend rien »
«  Tu veux que j’essaye de lui parler ? »
«  Fais ce que tu veux »
 
Caleb craqua, sa voix se brisa, il était à bout. De rage et de colère il donna un coup de pied dans la chaise de son bureau qui tomba à la renverse, du rez de chaussé, Nick avait dû entendre. Cal ne pouvait plus il lâchât un cri déchirant, un cri de tristesse poignant seul les sans cœur et les insensible, ne pouvait ne pas réagir à ce dernier, en pleure l’ado s’écroulât au sol contre son lit. 

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Nick serra les dents. Il n'avait pas signer pour se faire insulter et espionner par un gosse. Il n'avait pas signer pour surveiller un gamin. Il n'avait pas fait tout ça pour ça justement. Si il aurait voulut s'occuper d'un gosse, il en aurait fait un avec une femme. Cependant là carrément Caleb commençait à lui taper sur le système. Après avoir serrez la machoire, Nick esquissa un sourire moqueur. Il se croyait drôle en plus ce morveux ! Il ne renchérit pas, à quoi bon cela servirait ? Et pourtant Nick adorait avoir le dernier mot, mais face à un gosse c'était pas la peine de jouer ! Le latino lui expliqua ensuite ce qu'il devait faire et comment ils allaient faire. Caleb ne renchérit pas sur tout ça et peut être que c'était pas plus mal. Nick remarqua son regard, comme si Caleb lui demandait ouvertement si il était stupide. Durant un quart de secondes Nick aurait bien dit oui. Après tout, le jeune garçon avait bien fait une grosse connerie là non ? Mais il se retint. Mettre de l'huile sur le feu n'était pas une bonne idée, réellement pas. Alors il préféra se taire. Puis soupirant, il déclara au gamin qu'il devait faire son boulot et que pour le moment ce boulot consistait à le protéger. Nick ne vit pas le regard de Caleb, car le latino avait déjà sa tête baisser. Caleb commença à avancer et demanda quelque chose à Nick mais il ne finit pas sa phrase. Nick aurait bien aimer avoir la fin de la question mais visiblement ce n'était pas le moment. Le latino ne savait pas ce que Caleb avait en tête. Peut être que si il savait toute cette solitude il parlerait avec le gamin. Et encore, saurait-il faire quelque chose ? Il s'était toujours sentit seul et avait toujours préféré cette solitude. Evidemment contrairement à Caleb, Nick avait encore sa mère, et il avait Charlie. Mais ce n'était pas pareil. Nick avait perdue son frère, son repère. Il avait toujours sut, bien que Rafaël soit quelqu'un de dangereux, que celui-ci serait toujours là pour lui, pour le protéger. Et voir son frère se faire sous ses yeux, ça avait clairement calmer toute les croyances du gamin. Le monde de Nick c'était écrouler avec ces deux pertes l'une derrière l'autre. D'abord son père, un homme qui lui parlait de valeur, de courage, d'honnêteté, de travail...et puis Rafaël. 

Alors que Nick était plongé dans ses pensées, à se souvenir de tout ça, et à essayer de voir comment faire pour réaliser sa mission en bien, il entendit un bruit sourd. Il arqua un sourcil, ouvrit la boite qui était sur la table et en prit un des chargeurs qu'il enclencha dans son arme dans son dos. Il avança lentement sur le coup, puis entendant Caleb crier, il se précipita vers la chambre du gamin. Il le trouva assis par terre, contre le lit. Nick regarda la chambre et comprit alors que ce n'était que l'ado qui avait eut besoin de décompresser. Il rangea son arme et Nick remarqua le portable. Il reconnue le numéro illico. Il raccrocha. Puis il s'assit en face de Caleb. Il resta silencieux plusieurs minutes. Grimaçant en esquissant un sourire en coin, le genre de sourire nerveux, celui qu'on a qu'en on est triste mais qu'on ne veut pas l'admettre. Puis sans regardant Caleb il fit :

"Tu es une mission pour moi, c'est vrai. Un numéro sur un dossier. Je peux comprendre que ça ne te plaise pas...Mais c'est ma façon à moi de..."

Marquant une pause d'à peine deux secondes, cherchant ses mots, il essaya de trouver ceux qui ne pourraient pas blesser l'ado plus que ça et qui pourraient également expliquer à Caleb son ressentit. Il reprit alors :

"C'est mon moyen de rester en vie, tu comprends ? Il y a des gens qui ont besoin d'attaches, qui ont besoin d'être entourer pour rester en vie. Moi j'ai besoin de faire mon travail et si je veux faire mon travail comme il faut, je ne dois pas m'attacher. C'est pour ça que je suis bon dans ce que je vais. Sinon je peux perdre le contrôle...Cela n'a rien à voir avec toi. C'est tomber sur toi, mais ce n'est pas de ta faute."

Il ne savait pas si il était clair, si cela aidait le gamin à se sentir mieux. Il ne le pensait pas, après tout, comment il pourrait l'aider à aller mieux alors qu'il ne savait rien de ce gamin. Comment il pouvait l'aider ? Il n'était pas affectif, ni même paternelle. Alors comment on pouvait lui demander de s'occuper d'un gosse comme lui ? Soupirant, Nick se frotta le crâne et reprit la parole :

"Je ne sais pas ce qui s'est passé pour toi, j'ai comprit pour la fusillade, mais je suis sûr qu'il y a autre chose. Je ne vois pas comment je peux t'aider si je ne sais rien, tu comprends ? Tu crois que je suis contre toi, mais c'est pas le cas. Je fais ce qu'on me dit. J'obéis aux ordres. Tu connais ça non ?"

Il espérait arriver à le faire un peu parler. Il ne savait pas trop. Il était toucher par ce gosse mais sa règle de survie le forçait à en rester loin, à ne pas s'attacher. Il ne le fallait pas. Si il continuait et qu'il en apprenait trop sur le gosse, il allait avoir la sensation de le connaître, de lui devoir quelque chose, de devoir le protéger. Le gamin ne savait pas tout ça, il ne savait pas pour la vie de Nick et dans tout les cas Nick ne le dirait pas.  Nick reçut un message en vibreur. Il reconnue le code. C'était Charlie. le jeune homme lut le message et il fit ensuite à Caleb :

"Charlie s'inquiète pour toi...elle me dit que tu veux rentrer chez toi...La question Caleb, c'est pas si tu veux rentrer chez toi, c'est comment tu veux le faire ?...Je veux bien t'aider à rentrer chez toi...Mais moi je ferrais tout pour que tu rentres en vie."

Marquant une nouvelle fois une pause, Nick regarda autour de lui, puis il reporta son regard vers Caleb et il fit :

"La vérité c'est que je crois que je suis encore moins à l'aise que toi avec cette situation. Ma vie à moi c'est pas ça. Ma vie, elle consiste à aller au boulot, accepter une mission, la résoudre, rentrer chez moi, me douche et me coucher. Le lendemain je recommence. Je ne me voyais pas avec un ado sur les bras, qui plus est un gamin que je ne connais rien. Alors je peux pas être la personne qui tu souhaites que je devienne, je ne peux pas être ce substitut là, mais je peux te promettre de te protéger et de faire en sorte que les types qui en ont après toi, ne viennent pas jusqu'à là..."

Cette fois Nick avait tenter un premier pas. enfin un premier verbale. Sa voix était calme, posé. Par le genre de Nick d'habitude. Il disait beaucoup de mots d'ailleurs, ça aussi ce n'était pas son habitude. Nick se redressa, il attrapa le portable du gamin, et il y nota deux numéros. Le premier était le siens, et le second était le portable d'un certain Miguel. Nick tendit le téléphone à Caleb et il fit :

"Je viens de te confier deux numéros dans ton répertoire. Le mien et celui de Miguel."

Il s'attendait à avoir la question de qui était ce Miguel sortie de nul part. Alors Nick prit les devant :

"Miguel c'est également moi. C'est mon nom d'infiltrer, du moins un de mes nombreux noms. Si je ne répond pas, tu appelles sur ce numéro. Quoi qu'il arrive, le numéro de Miguel est à utilisé en cas d'extrême urgence. Mais j'espère que au moins avec ça, tu te sentiras un peu moins. Comme un numéro."

Si seulement Caleb savait à quel point Nick avait déjà ressentie ça. Lorsqu'il était enfant, Nick avait obtenue le droit d'aller étudier dans une grande école élémentaire. Le genre d'école pour les enfants riches, ou plutôt aisés comme on dit. Il était le seul petit latino dans cette école, et cela avait été son plus gros crime. Il ne s'était pas passer une journée, sans que Nick se sente rejeter des autres et seul. Terriblement seul. Alors oui, il était vrai que Nick avait une mère, qui se souvenait de moins en moins de la vie de son fils, et qu'il avait Charlie aussi. Mais au fond, Nick se sentait seul, et se croyait obligé de l'être. Il se considérait comme un tueur, un tueur pour la justice, et les tueurs n'ont pas de famille, ils ne doivent pas avoir d'amis, afin de ne pas les mettre en danger, et quand à leur famille, ce n'était pas non plus le bon plan, ils devaient les protéger et pour ça se faire effacer, ou leur faire changer de nom.

Vivre à deux

Caleb entendit Nick montait l’escalier entrer dans sa chambre. L’adolescent resta la tête baissé, il ne voulait pas que l’agent le voit pleurer. Mais les larmes, était voyante et luisante, les goutte qui tombait de son menton trahissais son état. Il écoutât Nick sans l’interrompre. Mais apprendre qu’on est rien de plus qu’un numéro, n fait jamais plaisir. Si Nick voulait lui faire de mal, ce qui n’étonnerait pas le jeune, le plus vieux venait de le faire, il avait l’impression que cette fois on le poignardé. Nick prit le temps de lui expliquait pourquoi il agit comme ça, mais cela ne consola pas vraiment Cal.
 
 
 
 
 
 
 
 

Vivre à deux

Quand le gamin demanda à Nick qui il était réellement, l'agent resta silencieux. Qui était-il ? Si seulement il le savait. Si seulement il pouvait donner une réponse correcte à ce gosse...Mais il ne le pouvait pas. Il était surement un très bon mélange des deux. Enfin des 16 plus exactement. Seize identités qu'il a créer à travers les années, afin de s'infiltrer les plus gros criminels. Il avait à chaque fois immiscer une partie de lui dans ses biographie, mais à chaque fois, une autre partie de lui s'était effacer. Il avait ainsi perdue la naïveté de l'enfant, le bonheur d'une famille, l'envie démesuré de fonder quelque chose. Il avait à chaque fois perdue foie en l'humanité, mais surtout perdue foie en lui même. Il ne savait plus lui même qui il était. Si il était Nicholas Alvarez, petit garçon élevé par un couple d'immigré aimant et heureux, élevant leur deux fils, un petit garçon joyeux, téméraire et attachant, un petit garçon qui avait eut la naïveté de croire qu'un secret ne ferrait de mal à personne...ou si il était à l'heure actuelle Miguel Sandoval, un criminel travaillant pour un marchant de rêve, un trafiquant d'humains, qui se sert de pauvre immigrés sans papiers pour obtenir ses fins. Un homme qui n'a pas d'attache, qui traite les femmes comme des jouets, qui  ne vie que pour l'argent et pour le pouvoir, un homme qui peut vite intimer l'ordre de faire disparaître quelqu'un, ou qui peut sous l'ordre de quelqu'un bien plus haut que lui hiérarchiquement parlant, faire disparaître quelqu'un. (il est évident que Nick ne tue personne, mais qu'il s'arrange pour le FBI le fasse.). Il avait dut se remettre à l'infiltration au vu du manque de personnelle totalement adéquate pour ce genre de mission. Lui était un fantôme et il n'avait plus besoin de prouver ses compétences. Bien que souvent cela le pesait. Il ne pouvait pas répondre à la question de Caleb, alors il ne dit rien. Il ne pouvait pas lui dire qu'il ne savait pas lui même qui il était, le gamin n'aurait jamais confiance en lui, mais il ne pouvait pas lui mentir. Son but étant d'être le plus honnête avec lui.

La suite eut comme effet un allez retour dans le visage de Nick. Etait-il si dur pour lui d'envisager d'avoir Caleb pour frère ? Oui. Nick ne pouvait pas mentir. Oui il n'avait pas envie de l'avoir pour frère. Cela n'avait rien à voir avec le gosse. Cela avait avoir avec Rafaël. Cela avait avoir avec lui. Avec ses sentiments et son passé. Nick respira très lentement, afin de garder son calme. Le gosse avait raison sur un point. Les numéros n'étaient pas vivant et pour le coup Nick regrettait un peu le concept de témoin "vivant" et protéger. Pourquoi lui ? Bon sang. Il ne répondit pas pour le moment. Le gosse marquait des points, mais des points que Nick n'avaient pas demander. Il n'avait jamais demander à se retrouver dans cette situation. Sentant sa machoire se serrer et ses nerfs s'enflammer légèrement, Nick respira tout aussi calmement que la situation lui permettait. Le gamin ne s'énervait pas, il ne devait pas le faire non plus. Il soupira et se frotta le crâne. Il regarda la chambre du gamin et secoua la tête.  Non tu la fermes Nick, sérieux, la ferme ! Se menaça-t-il intérieurement.  Si tu fais ça tu vas le regretter. Tu as cas lui dire ce que tu peux faire pour lui...Continua-t-il. Se monologue intérieur eut raison de lui. Il fit donc :

"Tu n'es pas un simple numéro ok. Je comprend que ça puisse te blesser. Enfin je crois...Ecoute, tu dois comprendre que c'est pas une question d'envie ou non. Tu vois, moi je ne compte pas dans cette histoire, mes envies, mes sentiments, mes ressentis, rien ne compte. Alors...Bon sang...Ecoute, on peut essayer, mais va falloir me laisser du temps ok, jusqu'à encore hier, je ne te connaissais pas, et je sais toujours rien sur toi. Alors on va y aller en douceur. Et j'ai jamais dis qu'on était ennemis, j'étais même pas au courant qu'on devait être ami. Enfin tu vois ce que je veux dire. Et j'ai pas d'exigence."

Il en avait jamais eut. A dire vrai, il ne savait même pas ce qu'il voulait lui même. Un jour il voulait être le fils parfait pour sa mère, se poser, fonder une famille, vivre ce que tout le monde vie, avec le fameux métro-boulot-dodo. Et le lendemain, le terrain lui manque, l'infiltration lui manque, le danger lui manque, et il fonce tête baisser dans tout ça. La vie était fait d'une manière que seul les tout puissants savaient comment tout se finirait. Soudain, Nick écouta ce que Caleb lui déclara. Les mots sonnèrent aux oreilles de Nick comme un son de cloche qu'il connaissait que trop bien. Gang, drogue, violence, bas fond, quartier pourris, chercher à s'enfuir...Il esquissa un sourire en apprenant que la mère de Caleb avait réussit à s'en tirer, bien que ce soit pour se retrouver chez un riche, au moins elle avait put éloigner son fils. Sauf qu'en apprenant la suite, l'agent plissa les yeux. Il sentit en lui une telle colère. Pourquoi on ne lui avait rien dit ? Pourquoi ?! Est-ce que ça aurait sérieusement changer les choses ? Nick n'en savait rien, mais au moins il n'aurait pas prit ce petit blanc bec pour un gosse né avec une cuillère en argent dans la bouche ! Il serra la machoire. La mère de l'enfant était morte sous ses yeux, et durant une demi seconde, le visage de Rafaël mort parvint aux yeux et à la mémoire de Nick. Ses prunelles noires tournant au gris, sans vies, le fixant tel les yeux d'un poisson vendue sur le marché. Nick n'oublierait jamais à quelle vitesse son frère s'était vider de son sang, et il savait que Caleb ne l'oublierait jamais. Nick croisa les bras, signe qu'il était pas à l'aise avec tout ça, puis il fit au gamin :

"Je comprends mieux pourquoi on a rien voulus me dire. Pourquoi tout était si secret. Tu sais que tu ne devras raconter cette histoire à personne d'autres, au risque de te mettre en danger, on est bien d'accord ?"

S'abaissant à hauteur du gamin, posant une main sur l'épaule valide du gamin, Nick attendit que Caleb le regarde puis, à ce moment là il lui dit :

"Ils ne te feront pas de mal, je les empêcherais de s'approcher de toi, à n'importe quel prix, tu m'entends ? Ils ne te feront plus souffrir. Du moins plus physiquement en tout cas. Je t'en fais ma promesse."

Une promesse que Nick  s'engageait à toujours tenir. Jamais il n'avait trahit une promesse, même enfant. Il ne faisait jamais de promesse si il n'était pas sur de pouvoir la tenir. Et là en l'occurrence il était sur de le faire. Il était prêt à donner sa vie pour ça.

Se redressant une dernière fois, Caleb demanda alors si ils allaient manger les pizza et il rappela à l'agent de ne aps oublier la prière. Nick grimaça. Et merde il a pas oublier, songea-t-il. Puis on sonna à la porte, Nick hocha la tête positivement et descendit. Il donna un billet au livreur et prit les pizza. Il les posa sur la table. Shayne arriva, et Nick se mit donc en place. Lorsque Caleb prit la main de Nick celui-ci se raidit, il n'aimait pas ce genre de contact. Allez juste quelques secondes. Puis regardant les pizza, tentant de chercher dans ses souvenirs, il se lança :

"Heu...Dieu, bénissez ces délicieuses pizza parce qu'on a vraiment faim, enfin moi en tout cas. Heu...pff...Protégez les gens qui compte pour nous, et...heu...aidez nous à avancer dans cette...épreuve ?...aventure ? Enfin bref dans ce beau merdier dans lequel on nous a coller Caleb et moi. Faite aussi que le gamin ne prenne pas peur de mes prières et m'en voulez pas, vous savez que ça fait longtemps...Amen."

Nick avait essayer, c'était pas forcément le genre de prière que Caleb attendait mais au moins Nick avait fait un effort, il avait essayer. Dès que la prière vu arrêter, il retira sa main assez rapidement, sans non plus expulser le gosse. Il se frotta les mains et fit ensuite au gosse :

"J'ai commander plusieurs pizza, poulet, fromage et la dernière jambon. Je ne savais pas ce que tu aimais."

Vivre à deux