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Chase : Poste 8 (OK)

Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 74





Qwantify Lover
Mar 16 Avr - 14:53
Certes, ce n'était la meilleure des soirées… Niveaux fêtes universitaires, on s'entend… Mais, pour ta part, elle se démarquait, se valait plus importante, agréable, torride et intense que les autres… En effet, tu ne songeais, en réalité, que tu te sentirais prêt à donner ta virginité : te donnait, tout entier, à un beau jeune homme, tel que Max Davenport… Et pourtant, de ce doux, sensuel et romantique moment, tu te savais que tu en conserverais un souvenir idéal, mémorable. Un moment féerique que tu ne regretterais guère… Une chose dont tu ne savais, que cela se reproduirait de si tôt, malgré le fait que ce dernier t'avait donné ce plaisir, ce moment de joie incommensurable, d'intimité évanescent, dont tu n'avais pu t'empêcher de le questionner à cette idée : savoir si cela avait été réciproque… Après tout, le bel apollon pouvait avoir qui il désirait, et… Même si tu avais marqué quelques points, avait une légère avance, sur le fait qu'il est d'autant plus attiré par la gent masculine, tu pouvais aisément concevoir que tu n'étais le plus mignon, mis en valeur, physiquement… Ne point plaire, forcément, dans tes sentiments, tes valeurs, ta façon de vivre, d'agir ou non…

Il avait eu l'air satisfait, d'autant plus heureux, à en juger par son doux baiser langoureux, qu'il t'avait donné, après votre fol ébat... Un baiser que tu prolongeais, avec tendresse ; tout en posant sa main sur sa nuque, l'attirant davantage contre toi, pour qu'il ne t'échappe... Juste le temps de quelques minutes durant - avant même de le voir se revêtir, se faufiler, délicatement, dans l'embrasure de la porte, tandis que tu laissais s'échapper un mignon petit rictus, un soupir, aussi léger qu'une brise… Cependant, que tu te rallongeais, te laisser porter d'un doux sommeil sans rêves ; tandis que les souvenirs, votre passion incandescente, défilaient dans ton esprit embrumé…

Il te fallut un moment pour revenir à la réalité ; te rappeler que tu te devais d'assister à la fête, qui battait son plein… Du moins, étant l'un des colocataires et organisateurs, cela ne serait sérieux, bien vu, dans le fond, si tu n'y faisais honneur… Ne serait-ce qu'un minimum !


*****


Chemise, jean enfilés, voilà que tu redescendais en trombe, légèrement rougie, décoiffé : une preuve suffisante, qui prouvait que, toi aussi, discrètement, tu en avais profité, en t'éclipsant à la vue de tous… Et alors que tu croisais, une fois de plus, le doux regard envoûtant de ton amant, dont tu lui retournais un mignon petit rictus, un clin d'œil complice, amusé, mais tendre à la fois - tu te risquais à t'aventurer dans la spacieuse cuisine, pour te rafraîchir, te remettre de tes folles émotions, que tu découvrais une de tes ex petites-amies, devenues l'une de tes meilleures amies, à présent ; et dont vos secrets étaient livrés, sans ambages, ni craintes, au demeurant… Une magnifique personne, que tu chérissais, protéger, malgré tout, envers et contre tous, mais qui te toisait longuement, silencieusement, l'air bien trop sérieux, à cet instant…

« Hey, salut, Paige ! » La saluais-tu, à nouveau, courtoisement. Lui adressant un mignon petit rictus, tandis que tu en profitais pour te servir un jus de fruits vitaminés, afin de te retaper, recharger les batteries, comme qui dirait… T'apprêtant à la questionner sur la soirée ; si elle s'amusait, s'y plaisait, également...

« Tu es sortie avec moi, parce que tu trouves que je ressemble à un garçon ? » Voilà qui était sacrément direct, qui te prit au dépourvu, sur l'instant… C'était quoi, ça ? Qu'est-ce qui lui prenait ? Cela sentait un peu le piège, quand même… Non ?

Tu faillis t'étouffer, avec une gorgée fraîche, dans la volée, bien que tu te surpris à t'adosser contre le comptoir, croisant son regard… Comme pour déceler, si elle ne te faisait pas une blague… Néanmoins, cela n'avait l'air d'être le cas…

« Heu… Non. En fait, j'ai rompu avec toi, parce que tu ne ressembles pas à un garçon, justement… » Consentais-tu à lui avouer, sans ménagement. Fronçant légèrement les sourcils. Passant une main dans ta chevelure, que tu tentais de replacer, soigneusement - avant même de t'approcher d'elle. De poser, doucement, une main sur sa frêle épaule, en lui adressant un mignon petit rictus. Comme pour lui insuffler un semblant de confort, de réconfort…

« Mais, ça n'empêche que je t'adore, que je te vénérerai toujours… Et que jamais, je n'oublierais ce qu'il y a eu entre nous, tu sais ? » Soufflais-tu, d'une voix douce, cristalline - en la prenant dans tes bras. La serrant tendrement contre toi, à mesure que tu la sentais relâchait la pression, se laissant aller… Fermant ses paupières sur ses orbes ténébreuses.

« Tu es quelqu'un de bien, Paige. Et, je suis sûr que tu trouveras quelqu'un de bien mieux, qui t'aimera, te méritera, tout autant. » Achevais-tu, néanmoins, que tu la sentais passé ses bras autour de toi, tout aussi tendrement, délicatement. Une douce attention… Chaste, naturellement, qui eut l'air de la rassurer, chasser ses vils tourments…

Seulement quelques minutes s'étaient passées, ainsi, et pourtant, bien que tu appréciais ce bel échange, profitais de sa douce compagnie qui t'apaisait toujours, également, le temps avait semblé se figer, pour toi… Et bien que tu serais bien resté ainsi, le devoir de cette soirée t'incombait… Néanmoins, tu ferais tout pour lui changer les idées, faire en sorte que ton amie profite, également... On n'a qu'une vie, après tout… Non ? Au pire cas, tu ferais en sorte de te rattraper - faire en sorte de vous trouver un moment, rien que tous les deux, pour vous amuser… Sans songer aux autres, au devenir de ce monde. Mais pour l'heure, tu lui assurais, avec tendresse, que, bien que tu restais non loin d'elle, que tu veillais sur cette dernière, qu'il fallait qu'elle s'amuse. Quitte a abusé un peu, ne plus la reconnaître, comme qui dirait…

Une charmante attention, une tendre pensée, qui partait d'une bonne intention ; l'inciter à t'écouter, en laissant s'échapper un rire cristallin - à se mêler, de nouveau, dans la dense mélasse, se mélanger à un petit groupe de filles, qui dansaient, discuter le bout de gras, non loin de là… À mesure que tu en profitais, gobelet en main, pour passer le seuil du salon, retrouver ta bande de potes : ton noyau de véritables amis, où, apparemment, quelques prouesses et exploits étaient de mise, sur le tapis…

C'est alors que ton bel apollon se retrouvait, une fois encore, agréablement, dans ton champ de vision ; que tu ne pouvais te détacher de son envoûtante emprise, tandis que de brûlantes passions reprenaient le dessus sur toi, que tu avais terriblement envie de lui… De t'adonner, avec délice et tendresse, aux doux vices de l'existence salvatrice… Du moins, ton corps, ton âme le revendiquait, le désirait tant. Une fois de plus.


Le temps semblait suspendu, tout autant qu'il semblait durer des heures pour toi, avant même que tu ne puisses plus tenir - que tu tentais de te risquer à t'approcher du beau brun… De l'aborder, sans crainte… De faire en sorte qu'il ne t'échappe plus… De lui faire bien savoir, sentir que tu voulais te retrouver avec lui et seulement lui. En toute intimité…

« Hey, beau gosse… Je crois que j'ai oublié de te demander quelque chose… De bien particulier… Ça te dirait de remonter, pour m'aider à... Éclaircir mes idées ? » Façon détournée de lui souffler que tu avais diablement, terriblement envie de lui… De faire des montagnes russes ! Espérant, tout autant, que cela serait réciproque… Que, lui aussi, aurait envie de toi ? Tu n'allais guère le forcer, naturellement ; fort heureusement ! Néanmoins, tu n'allais le laisser filer, maintenant… Tu étais peut-être de nature timide, peu aventureux, et pourtant, avec lui, tu déraisonnais totalement, irrévocablement… Tu le désirais, lui. Et seulement, lui… Et, de ce que tu pouvais aisément confirmer, c'est que personne n'avait réussi à te faire un tel effet… À ce que ton âme tambourine, tout autant que ton corps vibre, bave davantage pour un autre… Ou une autre…

Ce n'était point seulement physique… Tu ne voulais te montrer comme le gentil petit Chase, tout naïf, innocent, que tu demeurais jusqu'à présent… Max, tu le voulais - tu désirais follement t'ancrer sous sa peau. À jamais… Mais, bien que tu désirais que cela soit réciproque… Tandis que tu attendais patiemment sa décision, ton regard se noyait dans l'intensité de ses billes bleutées, autant qu'un éclat de désir, de lubricité, se reflétait dans les tiennes ; cependant, que tu te mordais la lèvre inférieure, presque de nervosité… Le choix lui revenait…
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