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Chase : Poste 4 (OK)

Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 74





Qwantify Lover
Ven 12 Jan - 15:05
Certes, tu ne l'avais envisagé comme cela, cette belle soirée animée, florissante… Parait de fols cotillons, d'alcool… De breuvages pétillants, où toi, tes camarades et colocataires, vous vous lâchiez considérablement, inexorablement… Qui plus est, bien que tu susses en profiter, tout autant ; gentiment t'amuser… Demeurer à l'aise, parmi la dense mélasse, tu n'avais envisagé l'idée même de faire de telles folies, des embardées… Notamment, que cela se montre aussi fluide, passionné avec ce charmant, séduisant jeune homme, répondant au doux nom de Max Davenport ! Étais-tu, seulement, aveugle d'agir ainsi… D'être aussi fou à lier que cela ? De n'avoir froid aux yeux - de vous être laissés aller dans cette douce torpeur, cette bulle aux couleurs chatoyantes ? Toi qui, habituellement, te voulais un brin timide, que trop sage, oui… Pourtant, depuis cette soirée féerique, qui s'était déroulée à l'observatoire, tu ne savais songer à autre chose que lui : ce bel apollon, à la carrure magnifiquement sculptée, musclée… Gracieuse, élégante ; dont, de tes mains, tu avais follement envie de découvrir, effleurer… De ses orbes bleutés, dans lesquelles, irrémédiablement, tu t'y noyais… De goûter à ses lèvres, tu y avais rêvassé, depuis… Oui, tu étais fou… Oui, tu avais diablement envie de le connaître, bien plus intimement que ce que tu laissais l'entendre, l'imaginer… C'était une sensation étrange, totalement paradoxale, en effet… Toi qui n'avais pour habitude de t'y laisser aller ; d'aller plus loin que de douces caresses et tendres baisers… À tout du moins, avec la gante masculine… Pourtant, bien qu'une certaine peur incandescente t'irradiât au fond de ton être, te transcendait avec le charmant, romantique, délicat petit brun, tu ne savais raisonner… Avec lui, tout paraissait fluide, délicat… Romantique, féerique… Tu étais bien à ses côtés… Te sentait des plus heureux, vivants. Comme s'il te complétait… Oui, il te plaisait. Tu le consentais… Et le temps passé dans ce placard, ne t'était paru que trop court, éphémère... Un instant magique, coincé, pour autant, dans la stratosphère - un moment que tu ne voulais guère briser… Un moment où vos lèvres s'étaient scellées, à jamais… Où ton esprit embrumé, conserverait le goût délicat, sucré… De son doux contact qui te rassurait, t'arracher quelques frissons, qui parcouraient ton échine... Où tu t'étais décidé, sans ambages ni honte certaine, à lui faire plaisir, le mener à son comble… Que c'était ce que tu désirais, rechercher… Que ton âme cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'imploser… Que tu voulais simplement aller plus loin ; sonder les tréfonds de son cœur palpitant… Découvrir ses viriles courbes… Demeurer juste vous deux et vous seuls. En toute intimité… Sans que nuls petites gens, ne vous entravent, vous coupe de cette joute lasse, qui vous entourait, vous enveloppait de son manteau de fumée…


Mais sept minutes au paradis… À demeurer dans le placard… Où le défi avait été relevé, avec passion renouvelée… Dans ce radieux, complaisant méfait accomplit, voilà que tes charmants colocataires se risquaient à ouvrir la porte blindée, promptement… Se sentant quelque peu hilares… Vous signalant, ainsi, que s'en était bel et bien terminée, de la douce rêverie… Tandis que tu avais volé un dernier baiser langoureux, passionné, à ton séduisant, parfait partenaire de jeu… Laissant s'échapper, bien malgré toi, un mignon, tendre petit rictus… Bien que tu te voulusses légèrement amusé, il est vrai… Avant même de fuir, doucement, à son doux regard envoûtant, agréablement décontenancé - mais qu'en mémoire, soigneusement, tu conservais… Te faisant la promesse dorée que tu y reviendrais, le retrouverait… Que toi non plus, tu ne saurais être rassasié… De Max, tu en redemanderais, bien volontiers !


Mais sur l'instant présent ; alors que vous aviez rejoint le spacieux salon, où chacun échanger, s'esclaffer à gorge déployée, au rythme de la musique, qui avait augmenté - que tu avais sagement engagé la conversation avec quelques amis, qui se vantaient d'exploits certains… Que tu leur tapais sur l'épaule pour les féliciter, voilà que ton regard, agréablement, se poser sur celui du jeune, radieux, prometteur, envoûtant PDG, une fois de plus - qui, lui non plus, ne te quittait guère… Lui adressant un doux, mignon, petit rictus, néanmoins qu'une faible lueur de lubricité, se reflétait dans tes billes caramélisées… Que tu sentais la chaleur te montait de toutes parts… Agréablement, t'irradier… Bon sang, ce qu'il était magnifique, sexy, charmant ! Tu devais le reconnaître, tu te sentais à l'étroit dans ce pantalon ! Et oui, il te plaisait, te chauffer… Oui, tu devais le concevoir : t'avait envie de faire des montagnes russes, de te jeter sur lui… De te délecter, sans ambages, de ses fines lèvres… De t'y méprendre… De le découvrir, à ton tour… Plus intimement… Avec d'autant plus d'affinités, comme qui dirait !

Et les minutes semblaient défilées, s'égrenaient, à travers ce sablier qui marque votre apogée, votre temps, sans que vous ne vous quittiez du regard… Bien que vous traversiez, gambadait d'un petit groupe à un autre, au demeurant… Et tandis que tu trempais tes lèvres, dans ton sombre breuvage glacé ; au goût raffiné du raisin… Que de ton gobelet en plastique, tu tenais soigneusement… Quand bien même, tu semblais agréablement charmé, troublé par ce dernier… Bien que tu te questionnasses… Chercher à savoir, si tu ne l'avais point brusqué, un peu plus tôt… Ne t'était montré, peut-être, que trop entreprenant à son égard ? Au risque solennel, que cela ne l'avait plu…

Tu ne dirais point que tu es le meilleur, un expert en la matière, pour tenter de trouver le point sensible… De tenter de tout faire, tout exécuter ; de mener à leurs combles, celles ou ceux, qui, agréablement, te plaisaient… Pour que chacune, chacun demeure heureux, épanouit, oui… À tout du moins, sans vouloir t'en vanter, quand tu étais en couple ou avais enchaîné, jadis, quelques relations d'un soir, tu n'avais jamais entendu qu'on ne s'était plaints à ton égard, de tes prouesses sexuelles, torrides à souhaits… Que ce seraient des échecs bien cuisants… Encore moins, venant des oreilles attentives de tes amis, de tes proches, tu le confessais… Que tu n'avais été à la hauteur, n'avait pas assuré… Et, au contraire, cela n'avait pas été dans tes intentions de brusquer, vexer de quelques manières que cela fut, votre cher et tendre invité de marque !

Tu t'apprêtais à lui présenter tes plus humbles excuses, qui se voulaient pourtant sincères, à son égard, oui… De tout faire pour te racheter à ses iris chatoyants, dont, indéniablement, tu t'y noyais… D'oublier ce fâcheux incident, si nécessaire, afin d'éviter, à l'avenir, quelconques malentendus, quelques embarras certains… Mais, à peine eus-tu le temps nécessaire d'y remédier, que le séduisant, exquis, sensuel apollon arrivait déjà à ta hauteur ; te coupant l'herbe sous le pied…

« On pourrait se voir… En privé ? Dans ta chambre, ce serait parfait. J'ai envie d'apprendre à mieux te connaître… » Consentait le doux, séduisant, charmant jeune homme à avouer - te questionnant, presque, d'une voix qui se voulait cristalline, suave ; presque d'un murmure, à mesure que tu lui adressais un mignon petit rictus bienveillant, tendre, rassurant. Approuvant d'un léger signe de tête. Désirant, presque, lui prendre sa main, pour lui montrer le chemin de ta chambre douillette… De respectueusement l'entraîner, t'emboîtait le pas… « Ça serait avec grand plaisir, beau gosse ! Car, rassure-toi, c'est d'autant plus réciproque… » Laissais-tu lui faire entendre, lui faire saisir l'essence même de tes propos… Te rapprochant, même, de son lobe d'oreille, pour lui susurrer ces derniers mots suaves, emplit de passion, de désir… Avant même de te marquer, à nouveau, d'un léger mouvement de recul respectueux… Bien que tu lui gratifiais d'un petit clin d'œil complice, d'un mignon petit rictus, visiblement rassurer, satisfait. Lui faisait signe de te suivre, néanmoins que tu le contemplais avec désir… Qu'un étrange, un doux éclair de lubricité se reflétait dans tes iris chatoyants… De regagner, en toute intimité, ton espace nuit, ton petit jardin secret ; à mesure que ton palpitant s'emballait… Que la tension excitante, sexuelle, s'insufflait en ton être, il est vrai… Où, bien rapidement, ton séduisant, sensuel, parfait partenaire de jeu s'arrêtait derrière le seuil de ta porte. Refermant, délicatement, à double tour…

À peine avait-il eu le temps nécessaire de s'exécuter… Te sentant agréablement pris dans un tourbillon lancinant de passion, de folie incontestée… Sans prendre que trop les devants, tu te surpris, néanmoins, à te rapprocher de ce doux, séduisant, sensuel apollon à la carrure magnifiquement sculptée, musclée. Posant irrémédiablement, tes mains en coupes, sur ses douces joues de nacres. Les capturant, subtilement, pour ne point qu'il ne t'échappe, se dérobe à ton regard ; lui volant, ainsi, un tendre baiser. Cherchant sa langue, d'emblée, dans une danse furibonde, alors que la chaleur s'engouffrait en ton être... Agréablement, t'irradier… Effleurant, parcourant avec désir, son torse… Bien que le temps de quelques instants, tu te permis d'un léger mouvement de recul ; de te noyer, avec délice répété, dans l'intensité de ses orbes bleutés… Lui adressant un mignon, un tendre petit rictus… Avant même de lui prendre ses mains, délicatement, afin de l'entraîner, davantage, vers ton chaud duvet, douillet à souhaits… Embarrassé à l'idée que ce que tu avais à lui offrir, ne lui plaise guère, ne le décontenance… Qu'il puisse se rétracter, fuir à ta vue désenchantée… Que tu ne puisses assurer… Mais aussi, car, même si, à tes yeux, en ton âme, follement, tu le désirais, voulait le découvrir… Que tu te sentais prêt à franchir le cap, l'ultime étape écarlate, à ses tendres côtés… Vouloir te donner à ton doux, sensuel, parfait Max, tout entier, et seulement à lui… Corps, âme, virginité… Tu ne savais s'il le consentirait, s'il serait doux… S'il saisirait l'essence même de tes sombres doutes, tes craintes solennelles… Parce que, malgré tout, tu désirais, seulement, que tu lui plaises, le trouble tout autant… Que cela se fasse en douceur… De manière romantique, féerique… Que cela en vaille réellement la peine… Que ce moment, aussi éphémère qu'un simple vole de papillon, reste, néanmoins, coincé, à jamais, dans la stratosphère… Et que tu devais le consentir, de ce côté… En matière de relation, avec la gante masculine, tu n'étais des plus expérimentés… Et s'il n'en apercevait… ? Et si, par mégarde, ta maladresse ne le refroidissait, le froissé ? Le blessé, de quelques manières que cela soit ? Non, ce n'était le but ultime, recherché… Ton amour-propre en prendrait un sacré coup… D'autant plus que tu te maudirais, plus que nécessité, de laisser partir un jeune homme aussi sublime, charmant, sexy, exceptionnel… Aussi extraordinaire, parfait, que le beau brun… Tu le confessais… C'était l'occasion unique, oui… Pourtant, cela te faisait flipper, te braquer à l'idée de n'être à la hauteur de ses espérances, qu'il ne prenne son pied…
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Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 74





Qwantify Lover
Mer 17 Jan - 19:49
UNE FÊTE MÉMORABLE


Certes, tu ne l'avais envisagé comme cela, cette belle soirée animée, florissante… Parait de fols cotillons, d'alcool… De breuvages pétillants, où toi, tes camarades et colocataires, vous vous lâchiez considérablement, inexorablement… Qui plus est, bien que tu susses en profiter, tout autant ; gentiment t'amuser… Demeurer à l'aise, parmi la dense mélasse, tu n'avais envisagé l'idée même de faire de telles folies, des embardées… Notamment, que cela se montre aussi fluide, passionné avec ce charmant, séduisant jeune homme, répondant au doux nom de Max Davenport ! Étais-tu, seulement, aveugle d'agir ainsi… D'être aussi fou à lier que cela ? De n'avoir froid aux yeux - de vous être laissés aller dans cette douce torpeur, cette bulle aux couleurs chatoyantes ? Toi qui, habituellement, te voulais un brin timide, que trop sage, oui… Pourtant, depuis cette soirée féerique, qui s'était déroulée à l'observatoire, tu ne savais songer à autre chose que lui : ce bel apollon, à la carrure magnifiquement sculptée, musclée… Gracieuse, élégante ; dont, de tes mains, tu avais follement envie de découvrir, effleurer… De ses orbes bleutés, dans lesquelles, irrémédiablement, tu t'y noyais… De goûter à ses lèvres, tu y avais rêvassé, depuis… Oui, tu étais fou… Oui, tu avais diablement envie de le connaître, bien plus intimement que ce que tu laissais l'entendre, l'imaginer… C'était une sensation étrange, totalement paradoxale, en effet… Toi qui n'avais pour habitude de t'y laisser aller ; d'aller plus loin que de douces caresses et tendres baisers… À tout du moins, avec la gante masculine… Pourtant, bien qu'une certaine peur incandescente t'irradiât au fond de ton être, te transcendait avec le charmant, romantique, délicat petit brun, tu ne savais raisonner… Avec lui, tout paraissait fluide, délicat… Romantique, féerique… Tu étais bien à ses côtés… Te sentait des plus heureux, vivants. Comme s'il te complétait… Oui, il te plaisait. Tu le consentais… Et le temps passé dans ce placard, ne t'était paru que trop court, éphémère... Un instant magique, coincé, pour autant, dans la stratosphère - un moment que tu ne voulais guère briser… Un moment où vos lèvres s'étaient scellées, à jamais… Où ton esprit embrumé, conserverait le goût délicat, sucré… De son doux contact qui te rassurait, t'arracher quelques frissons, qui parcouraient ton échine... Où tu t'étais décidé, sans ambages ni honte certaine, à lui faire plaisir, le mener à son comble… Que c'était ce que tu désirais, rechercher… Que ton âme cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'imploser… Que tu voulais simplement aller plus loin ; sonder les tréfonds de son cœur palpitant… Découvrir ses viriles courbes… Demeurer juste vous deux et vous seuls. En toute intimité… Sans que nuls petites gens, ne vous entravent, vous coupe de cette joute lasse, qui vous entourait, vous enveloppait de son manteau de fumée…


Mais sept minutes au paradis… À demeurer dans le placard… Où le défi avait été relevé, avec passion renouvelée… Dans ce radieux, complaisant méfait accomplit, voilà que tes charmants colocataires se risquaient à ouvrir la porte blindée, promptement… Se sentant quelque peu hilares… Vous signalant, ainsi, que s'en était bel et bien terminée, de la douce rêverie… Tandis que tu avais volé un dernier baiser langoureux, passionné, à ton séduisant, parfait partenaire de jeu… Laissant s'échapper, bien malgré toi, un mignon, tendre petit rictus… Bien que tu te voulusses légèrement amusé, il est vrai… Avant même de fuir, doucement, à son doux regard envoûtant, agréablement décontenancé - mais qu'en mémoire, soigneusement, tu conservais… Te faisant la promesse dorée que tu y reviendrais, le retrouverait… Que toi non plus, tu ne saurais être rassasié… De Max, tu en redemanderais, bien volontiers !


Mais sur l'instant présent ; alors que vous aviez rejoint le spacieux salon, où chacun échanger, s'esclaffer à gorge déployée, au rythme de la musique, qui avait augmenté - que tu avais sagement engagé la conversation avec quelques amis, qui se vantaient d'exploits certains… Que tu leur tapais sur l'épaule pour les féliciter, voilà que ton regard, agréablement, se poser sur celui du jeune, radieux, prometteur, envoûtant PDG, une fois de plus - qui, lui non plus, ne te quittait guère… Lui adressant un doux, mignon, petit rictus, néanmoins qu'une faible lueur de lubricité, se reflétait dans tes billes caramélisées… Que tu sentais la chaleur te montait de toutes parts… Agréablement, t'irradier… Bon sang, ce qu'il était magnifique, sexy, charmant ! Tu devais le reconnaître, tu te sentais à l'étroit dans ce pantalon ! Et oui, il te plaisait, te chauffer… Oui, tu devais le concevoir : t'avait envie de faire des montagnes russes, de te jeter sur lui… De te délecter, sans ambages, de ses fines lèvres… De t'y méprendre… De le découvrir, à ton tour… Plus intimement… Avec d'autant plus d'affinités, comme qui dirait !

Et les minutes semblaient défilées, s'égrenaient, à travers ce sablier qui marque votre apogée, votre temps, sans que vous ne vous quittiez du regard… Bien que vous traversiez, gambadait d'un petit groupe à un autre, au demeurant… Et tandis que tu trempais tes lèvres, dans ton sombre breuvage glacé ; au goût raffiné du raisin… Que de ton gobelet en plastique, tu tenais soigneusement… Quand bien même, tu semblais agréablement charmé, troublé par ce dernier… Bien que tu te questionnasses… Chercher à savoir, si tu ne l'avais point brusqué, un peu plus tôt… Ne t'était montré, peut-être, que trop entreprenant à son égard ? Au risque solennel, que cela ne l'avait plu…

Tu ne dirais point que tu es le meilleur, un expert en la matière, pour tenter de trouver le point sensible… De tenter de tout faire, tout exécuter ; de mener à leurs combles, celles ou ceux, qui, agréablement, te plaisaient… Pour que chacune, chacun demeure heureux, épanouit, oui… À tout du moins, sans vouloir t'en vanter, quand tu étais en couple ou avais enchaîné, jadis, quelques relations d'un soir, tu n'avais jamais entendu qu'on ne s'était plaints à ton égard, de tes prouesses sexuelles, torrides à souhaits… Que ce seraient des échecs bien cuisants… Encore moins, venant des oreilles attentives de tes amis, de tes proches, tu le confessais… Que tu n'avais été à la hauteur, n'avait pas assuré… Et, au contraire, cela n'avait pas été dans tes intentions de brusquer, vexer de quelques manières que cela fut, votre cher et tendre invité de marque !

Tu t'apprêtais à lui présenter tes plus humbles excuses, qui se voulaient pourtant sincères, à son égard, oui… De tout faire pour te racheter à ses iris chatoyants, dont, indéniablement, tu t'y noyais… D'oublier ce fâcheux incident, si nécessaire, afin d'éviter, à l'avenir, quelconques malentendus, quelques embarras certains… Mais, à peine eus-tu le temps nécessaire d'y remédier, que le séduisant, exquis, sensuel apollon arrivait déjà à ta hauteur ; te coupant l'herbe sous le pied…


« On pourrait se voir… En privé ? Dans ta chambre, ce serait parfait. J'ai envie d'apprendre à mieux te connaître… » Consentait le doux, séduisant, charmant jeune homme à avouer - te questionnant, presque, d'une voix qui se voulait cristalline, suave ; presque d'un murmure, à mesure que tu lui adressais un mignon petit rictus bienveillant, tendre, rassurant. Approuvant d'un léger signe de tête. Désirant, presque, lui prendre sa main, pour lui montrer le chemin de ta chambre douillette… De respectueusement l'entraîner, t'emboîtait le pas… « Ça serait avec grand plaisir, beau gosse ! Car, rassure-toi, c'est d'autant plus réciproque… » Laissais-tu lui faire entendre, lui faire saisir l'essence même de tes propos… Te rapprochant, même, de son lobe d'oreille, pour lui susurrer ces derniers mots suaves, emplit de passion, de désir… Avant même de te marquer, à nouveau, d'un léger mouvement de recul respectueux… Bien que tu lui gratifiais d'un petit clin d'œil complice, d'un mignon petit rictus, visiblement rassurer, satisfait. Lui faisait signe de te suivre, néanmoins que tu le contemplais avec désir… Qu'un étrange, un doux éclair de lubricité se reflétait dans tes iris chatoyants… De regagner, en toute intimité, ton espace nuit, ton petit jardin secret ; à mesure que ton palpitant s'emballait… Que la tension excitante, sexuelle, s'insufflait en ton être, il est vrai… Où, bien rapidement, ton séduisant, sensuel, parfait partenaire de jeu s'arrêtait derrière le seuil de ta porte. Refermant, délicatement, à double tour…

À peine avait-il eu le temps nécessaire de s'exécuter… Te sentant agréablement pris dans un tourbillon lancinant de passion, de folie incontestée… Sans prendre que trop les devants, tu te surpris, néanmoins, à te rapprocher de ce doux, séduisant, sensuel apollon à la carrure magnifiquement sculptée, musclée. Posant irrémédiablement, tes mains en coupes, sur ses douces joues de nacres. Les capturant, subtilement, pour ne point qu'il ne t'échappe, se dérobe à ton regard ; lui volant, ainsi, un tendre baiser. Cherchant sa langue, d'emblée, dans une danse furibonde, alors que la chaleur s'engouffrait en ton être... Agréablement, t'irradier… Effleurant, parcourant avec désir, son torse…


« Tu es vraiment canon, très sexy… » Soufflais-tu, d'une voix suave, mélodieuse… Presque d'un faible murmure, tandis que ton palpitant battait, cognait à tout rompre, dans ta cage thoracique. Au point d'imploser… Alors que tu sentais la chaleur te montait de plus en plus. Voir, jusqu'aux tempes… Te risquant, toi-même, à laisser tomber ton sombre boxer ; te laissait aller, à ton tour… Pour qu'il te découvre tout autant… Laissant le fin tissu, glissé machinalement, sur la moelleuse moquette… Tandis que tu retenais ton souffle, que tu te sentais embarrassé, il est vrai… Cachant, promptement, ton sexe qui durcissait, aux maigres forces de tes mains…[/hide]
Embarrassé à l'idée que ce que tu avais à lui offrir, ne lui plaise guère, ne le décontenance… Qu'il puisse se rétracter, fuir à ta vue désenchantée… Que tu ne puisses assurer… Mais aussi, car, même si, à tes yeux, en ton âme, follement, tu le désirais, voulait le découvrir… Que tu te sentais prêt à franchir le cap, l'ultime étape écarlate, à ses tendres côtés… Vouloir te donner à ton doux, sensuel, parfait Max, tout entier, et seulement à lui… Corps, âme, virginité… Tu ne savais s'il le consentirait, s'il serait doux… S'il saisirait l'essence même de tes sombres doutes, tes craintes solennelles… Parce que, malgré tout, tu désirais, seulement, que tu lui plaises, le trouble tout autant… Que cela se fasse en douceur… De manière romantique, féerique… Que cela en vaille réellement la peine… Que ce moment, aussi éphémère qu'un simple vole de papillon, reste, néanmoins, coincé, à jamais, dans la stratosphère… Et que tu devais le consentir, de ce côté… En matière de relation, avec la gante masculine, tu n'étais des plus expérimentés… Et s'il n'en apercevait… ? Et si, par mégarde, ta maladresse ne le refroidissait, le froissé ? Le blessé, de quelques manières que cela soit ? Non, ce n'était le but ultime, recherché… Ton amour-propre en prendrait un sacré coup… D'autant plus que tu te maudirais, plus que nécessité, de laisser partir un jeune homme aussi sublime, charmant, sexy, exceptionnel… Aussi extraordinaire, parfait, que le beau brun… Tu le confessais… C'était l'occasion unique, oui… Pourtant, cela te faisait flipper, te braquer à l'idée de n'être à la hauteur de ses espérances, qu'il ne prenne son pied…

@"Max Davenport" & @"Chase Marschall"
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