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Ivy : Poste 2

Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 74





Qwantify Lover
Jeu 7 Déc - 15:37
CHAPITRE DIX - FACE À MONTY
« CERTAINES BLESSURES, NE SONT NI RÉVERSIBLES, NI RÉPARABLES... »



Musica !

Quand on y songe, à regarder de plus près, tu n'aurais jamais cru plausible, que, tôt ou tard, tu serais séparé de Montgomery Applewhite… Et encore moins de pouvoir te reconstruire, recoller les morceaux, de ton âme damnée, que, ces derniers mois, ces dernières années fortes éprouvantes, t'avaient, bel et bien, tourmentée, brisée, en mille-et-un éclats... Que le caprice complice du destin, l'amour te frappe, te consument… Te lèchent les pieds de ces flammes vacillantes… Que la passion t'emporte, une fois de plus, vers le large - un peu comme à l'océan, quand une vague vous prend par surprise, sans que vous ayez guère le temps d'en saisir l'essence même… Non, jamais tu n'aurais cru plausible que tu tomberais, rencontrerait cet homme magnifique, charmant, romantique… Ce bienveillant, charismatique, séduisant chef des urgences, répondant au doux nom de Ryan Kane : celui qui deviendrait ton âme-sœur, l'amour de ta vie… Le vrai, le seul, l'unique… Celui qui illumine une existence remplie de noirceur incontestée, de violences sidérées, de candeurs néfastes… Celle de la désillusion désenchantée, d'humiliations effroyablement répétées et de petites vies…


Nulles petites gens, qui vous entouraient ; de près ou de loin, n'aurait jamais cru plausible que cela se produirait… Un couple aimant, unis à jamais, face à l'adversité… Les mains liées, c'est de cette vile tocade, que tu avais dû, jadis, maintes fois jouer, à mesure que ton dit, bien-aimé, s'amusait davantage à tirer sur les ficelles, amusé… À te corrompre, te tourmenter, que plus encore, de cette erreur involontaire, que tu avais commise… Une bourde, que tu avais tant tenté de réparer… De te faire aisément pardonner, à son propre égard... De retrouver grâce à ses orbes éteints, forts méprisants… En vain… Le clapier s'était refermé sur ton être, ta frêle silhouette, jusqu'à suffoquer - te retenir de ses parois de verre, dans lesquelles tu n'y voyais point d'échappatoires... Dans lequel royalement, tu te méconnaissais… Tu t'étais munie, envelopper de cette bulle évanescente de mélancolie : à donner le change, jouer des apparences… Demeurer la femme aimante, parfaite, sous tous rapports… Ne songeant l'idée même qu'on te retiendrait, que nuls ne te remarquerait, ne te chérirait… Ne t'aimerait guère pour tout ce que tu avais à offrir : de t'aimer sincèrement, profondément, pour tout ce que tu demeurais, tout ce que tu représentais… Tu t'étais, bel et bien, fourvoyée, t'était menti à toi-même, en songeant que l'amour n'était qu'un soleil trompeur, pour attirer les viles créatures faibles, naïves, comme tu l'étais, oui… Que l'âme-sœur, la séduction, la romance, ce n'était pour toi, dans le fond… Que ce n'était rien de plus qu'une ombre que tu croyais aimer, une simple pensée lointaine, dont les spectres roderaient, encore et toujours, à la lisière de ton inconscient… Jusqu'à ce que cet ange, fût bien tombé du ciel, pour t'arracher à tes propres tourments…


Certes, votre romance dorée, n'était que toute récente, toute fraîche… Ton joli conte de fées ne faisait que débuter, il est vrai… Cela faisait tout juste deux semaines, que tu demeurais officiellement en couple avec ton séduisant, envoûtant, romantique, sensuel et parfait apollon, à la carrure magnifiquement imposante, musclée… Que tu avais eu le plaisir, le soulagement certain, d'emménager à ses doux côtés, suivi de son innocente, douce progéniture, dont le lien, devait s'accroître, se forger davantage… De même que la confiance, la patience invétérée… Afin de mieux vous comprendre, vous apprivoisez - contrairement à cette première soirée pluvieuse, qui avait mal débuté, à votre plus grand désarroi… Bien que tu saisisses l'essence même de ce que ce petit bout de chou, répondant au doux nom de Jackson, devait ressentir, il est vrai… Que ce n'était chose aisée de t'accepter, vous faire entrer, promptement, dans leur existence, qui ne s'était, jusqu'à présent, paré que d'eux… Qu'ils étaient bien, heureux, épanouis ainsi… Une rencontre forte intense, explosive… Une rancœur sans égale, dont tu ferais tout, absolument tout, pour atténuer… De faire en sorte qu'il t'apprécie réellement, t'accepte pour tout ce que tu es… Tout comme tu avais débarqué, cogné à leur porte blindée… Te montrant des plus embarrassées, mais avec les plus nobles intentions, les plus sincères qui soient, tu le confessais… Y donner du tien, tout entreprendre pour les soutenir, les protéger, envers et contre tous, contre vents et marées… De les aimer, les chérir, plus que nécessité, tu t'en étais fait cette promesse dorée, oui… Et tu ferais tout, absolument tout, pour la tenir… Quoi qu'il en fût…


En cette radieuse journée ensoleillée, bien qu'un tant soit peu glacée, qui s'annonçait… Le doux et charmant, petit garçon de ton bien-aimé, qui s'en fut allé à l'école ; déposer, sagement, par ta douce et tendre moitié… Avec son jour de repos, bel et bien, validé, tu en avais profité, également, pour réorganiser tes heures de travail, afin de mieux profiter de vous… Pour vous retrouver, en tout couple aimant, passionné qui se vouait - et, cela en faisait bien partie, avait été approuvait, tout autant, par ton collègue et tendre coéquipier, à ton plus grand soulagement, tu le confessais ! Rien ni personne n'aurait pu vous arrêter, éclater votre bulle chatoyante, de bonheur irisé… Un doux moment féerique, magnifique, coincé dans la stratosphère, que tu comptais fort bien mettre en œuvre, pour t'occuper de ton séduisant, romantique, parfait Ryan… De subtilement le distraire, oui ! Toutefois, en remarquant sa démarche sérieuse… Arrivant à ta hauteur ; son regard envoûtant s'assombrir… Quelque peu blêmir, sur l'instant présent, tu n'en fus des plus rassurées… Avais-tu seulement fait ou dit quelque chose, qui, involontairement, l'aurait contrarié, blessé, plus que nécessité ?

« Ivy, ça fait presque deux semaines que tu vis ici… Je pense qu'on devrait aller récupérer le reste de tes affaires… » Consentait à te souligner, le doux, bienveillant, charismatique médecin, d'un ton doux, rassurant, suave… Presque d'un murmure… Avant même de se marquer d'une légère pause… Un fait, une charmante attention, qui aurait pu, fort bien, te toucher… Plus que de raison, dans le fond… Mais qui, pourtant, te fit serrer les dents d'amertumes… Une sombre idée immuable, dont les frissons parcouraient ton échine, au demeurant… Tu te doutais, bel et bien, que sa proposition ne partît guère d'un mauvais sentiment, non… Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, cela était même nécessaire, si tu voulais te sentir mieux, que plus à l'aise… Te sentir réellement chez vous… Ici, en ces vastes lieux… Qui plus est, en tout homme galant, que le séduisant, sexy, parfait petit brun représentait, tu constatais qu'il t'avait laissé de la place dans ses placards, pour te permettre d'y mettre tes effets personnels… De faire savoir, que tu n'étais, tout bonnement, qu'une simple personne de passage ; que c'était un tout nouveau chapitre de votre douce, magnifique romance qui débutait… De cela, tu ne pouvais qu'être émue, plus que touchée, rassurée… Tu serais presque tenté à l'idée de lui voler un tendre baiser langoureux, passionné… De le remercier chaleureusement, tendrement… De lui offrir quelques présents, un bon restaurant… Pour marquer le coup… De lui montrer, que plus encore, ton affection, trouver grâce à ses orbes bleutés… Seulement, tu demeurais d'autant plus effrayée - aussi apeurée qu'une chouette, prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers, simplement à l'idée de croiser ton ex-mari, qui sait ? Pire encore, que ce soit ton cher et tendre Ryan, qui, officiellement, tombe effroyablement sur lui… Qu'il se jette dans la mélasse, ne découvre la vérité, la romantique ampleur de votre relation… Ne se montrant de nature raisonnable, charmeuse, à ton propre égard, tu ne savais ce qui pourrait passer dans la caboche de ce rustre Monty… Et le voir prendre malin plaisir à le torturer, le chercher, qui plus est… Et, plus si affinité, ce n'était ce que tu désirais… Vous jetez dans la gueule du loup, comme qui dirait, ce n'était ta tasse de thé… Tu te savais folle, naïve… Une imbécile créature, quand tu te voulais, certes, mais point aussi masochiste que cela !

« Ryan, tu… Ce n'est pas que je ne veux pas, seulement, je… Je ne suis pas sûr que ce soit… » Non, tu ne pouvais te permettre cela… Que vous preniez risque de le rencontrer dans son propre domaine, son antre effroyable, lugubre… Tu ne savais si tu avais la force, toi-même, de le confronter… Qu'ensemble, vous le confrontiez… Même si cela partait d'une douce attention… Que, de tes effets personnels, tu y tenais sur l'instant, tu serais prête à tout racheter, tout délaisser en ces vastes lieux, plutôt que vous ne preniez de tels risques… Que vous ne regrettiez amèrement, subissez le lancinant courroux de ton ex… Tu te savais pertinemment de la noirceur, la violence sidérée qui sommeillait en lui, et ne point être en mesure de pouvoir autant préserver ton bien-aimé de lui… Que son innocent, charmant fils ne le remarque aussi amoché, tourmenté… Aussi perturbé, qu'il ne puisse paraître… Ce n'était là le but recherché… Non, tu ne pourrais le tolérer, le supporter, au demeurant… Si tu avais eu le courage ultime, la force de le quitter ; de lui faire signer ces bouts de papiers : comme quoi, officiellement, vous étiez séparés… Que plus rien, ne pouvait t'entraver… Que tu avais fui à sa vue indignée, désenchantée, ce n'était pour y remettre les pieds, refaire un come-back, ne serait-ce que furtif…

« Profite du fait que je sois de repos, à deux, ça ira vite… » Continuait le séduisant, sensuel, exquis médecin, dans sa tendre lancée… Se voulant toujours aussi doux, rassurant… Bienveillant, magnifique et attentionné, à mesure que tu lui adressais un faible petit rictus, à la fois amoureux, attendri, bien que mélancolique… Te noyant dans l'intensité de ses orbes bleutés… Te surprenant à lui prendre, délicatement, sa douce main ; comme pour te donner du courage, te rassurait davantage que ce dernier tenté de s'atteler au vif ouvrage, de te raisonner… Certes, il n'avait point tort de ce côté, mais tu ne savais guère pourquoi, de cela… Toute cette situation, tu ne le sentais bien, dans le fond… Et ne dit-on point que, quand nous avons un tel pressentiment… Connaissant la personnalité nauséabonde, violente, d'un homme comme Montgomery Applewhite, il fallait justement écouter son instinct ? Tu ne savais plus, tu doutais… Tu te sentais des plus fragilisées… Tu as le palpitant en déroute… L'âme, qui, sensiblement, tambourinait dans ta cage thoracique, au point d'imploser, colorer les murs, de son amère odeur de rouille…

Tu t'apprêtais à répliquer, lui donner, bien difficilement, ton accord ; en espérant sincèrement, de toute ton âme damnée, tourmentée, qu'il avait raison… Que les minutes, les heures égrenées, tourneraient fort bien rapidement, dans ce maudit compteur boisé… Qu'ensemble, aussitôt réalisé, vous seriez en harmonie, en paix… Mais à peine eut eu le temps de t'exécuter… De souffler un bon coup, comme qui dirait, que ta douce et tendre moitié, te coupait à nouveau l'herbe sous le pied ! « Tu m'as dit qu'il était pompier ? Vu l'heure et le jour, il doit bosser… Aucun risque de le croiser. » Achevait ton charismatique, romantique, sensuel, parfait apollon, en te retournant ce doux et mignon, petit rictus bienveillant, charmant et sublime, dont tu ne savais pas résister… Qui te donnait l'envie de lui capturer ses fines lèvres… Tu le confessais… Avant même de s'approcher que plus encore, t'entourait de ses bras forts, musclés, tendrement… Sentant son âme cognait, tout autant, de son côté - tandis que tu fermais tes paupières, sur tes iris ténébreux ; t'imprégnait de son affriolant parfum naturel, qui ne t'envoûtait que davantage… Qui, étrangement, arrivait à t'apaiser… Alors que tu te blottissais, te serrer, davantage, contre ton bel amant. Savourant sa douce étreinte, le temps de quelques longs instants, seulement… Avant même de se permettre d'un léger mouvement de recul, apercevoir ta réaction… De connaître, finalement, ton verdict, tes forts sentiments…

« Effectivement, aux dernières nouvelles, il l'est bien, mais… Tu as sûrement raison, il ne devrait pas être présent… Et qui plus est, plus vite, on s'en sera occupé, mieux nous serons tranquilles avec ça ! D'autant plus que je compte bien faire en sorte de nous rattraper, profiter de nous, mon chou… » Lui soufflais-tu, d'un ton suave, cristallin… Presque d'un doux murmure, néanmoins, qu'un étrange éclat de malice, de lubricité, de passion invétéré, se reflétait dans tes billes océaniques. Lui adressant, dans la volée, un léger petit clin d'œil complice, amusé… Alors que tu te risquais à lui voler un furtif, mais tendre baiser… Souriant, telle une belle idiote balafrée.

Tu le contemplais tendrement, te sentant des plus reconnaissantes, chanceuses d'être à ses doux côtés… Que ton bien-aimé se montre des plus compatissants, romantiques, courageux… Aussi compréhensif, volontaire, charmant… Aussi magnifique, parfait, qu'il était... Tu devais te l'avouer, tu ne connais guère beaucoup de petites gens, qui seraient prêts à s'y risquer… Entrer dans le domicile de leurs ex-conjoints… De s'y braver, à dire vrai… Et de cette tendre attention, ses forts sentiments, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir, pour lui montrer ton puissant amour, ton respect mutuel… De te donner à lui, à jamais… Corps et âmes...

Tu en profitais, dont, pour lui caresser délicatement sa douce joue de nacre ; bien que tu redevinsses sérieuse, pour autant… Désirant seulement lui ouvrir ton cœur, lui montrait sincèrement combien tu te sentais émue, touchée… Bien plus que tu n'osais l'admettre, au plus profond de toi-même, de ta frêle silhouette… « Je te remercie sincèrement, mon amour. Pour tout… Pour tout ce que tu fais pour que tout se passe au mieux… Pour que je me sente intégré parmi vous… Que je sois à ma place, dans notre douce famille… Des nombreux efforts que tu fournis, toi et Jackson, quand bien même ce n'est pas évident... Tu ne peux savoir comme cela me touche tellement, combien je me sens chanceuse, heureuse d'être avec toi, avec vous… » Lui révélais-tu sans ambages, le moindre détour - d'un ton, qui se vouait toujours aussi doux, mélodieux… Des plus tendres. Cependant, que ta main délicate, descendait, effleurer, doucement, sa clavicule, son imposante poitrine… Où plus précisément du côté de son cœur… Comme pour le sentir… Où finalement, tu t'y arrêtais, bien malgré toi… « Je te promets que je nous revaudrais cela, combien je ferais tout, pour que vous soyez heureux, comblés, comme tu me permets de l'être... Et ce, pour toujours… » Achevais-tu, finalement… Toujours de ce même ton, qui n'appartenait qu'à toi. Avant même de lui adresser un mignon petit rictus confiant, rassurant… Des plus aimants… De lui voler un autre baiser langoureux, passionné ; tout en posant tes mains en coupes, sur son doux visage envoûtant, troublant…

Et, tandis que les minutes défilaient ; s'égrenaient à travers ce sablier, qui marquait votre apogée, votre temps, tu laissais s'échapper un soupir heureux, encourageant… Vous préparant, mentalement, à sortir dans la chaleur ambiante du jour, pour récupérer tes effets, dans la sombre demeure de ce monstre silencieux, somnolant, qui, tu espérais de toute ton âme, sur son lieu de travail, s'activait…
@"Ryan Kane" & @"Ivy-Céleste Wittelsbach" & @"Montgomery Applewhite"


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