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Chase : Poste 4 (Final)

Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 78





Qwantify Lover
Jeu 19 Oct - 15:44
Tu te savais pertinemment, au fond de ton être, que tu ne devais être le premier à l'aborder sensuellement, le draguer ouvertement, de la sorte… Pour sûr… D'autant plus que le séduisant, charmant jeune homme avait fini par déclarer, très rapidement, lors d'une interview, à l'affût d'une mélasse de petites gens, qu'il demeurait plus attiré par la gante masculine, qui plus est ! Sans toutefois en ajouter plus, rentrer dans les détails : quant à savoir s'il semblait en couple ou non, cela restait un mystère, sans équivoque ! En même temps, tu pouvais aisément en saisir ses propres raisons… Après tout, il était là pour son emploi, pour prendre davantage en notoriété, en assurance ! Point forcément pour trouver son âme-sœur, le seul, le vrai ! L'incendiaire ! Celui qui illumine, colore son existence salvatrice, quand tout n'est que fadeur glaciale, sans la moindre saveur… Parait d'effroyables tourments… Pour cela, par ailleurs, tu devais le consentir ; il s'était montré fort bien courageux, pour oser le souffler ! Toi-même, dans son cas… À sa place, tu ne savais, si tu aurais eu l'étoffe de t'exécuter ! Et pourtant, voilà que tu venais de lui faire, sans ambages, ni le moindre détour, des avances, en cette folle soirée, parait de cotillons, de promesses dorées, florissantes ! À croire que tu étais né, avait toujours cultivé ce talent… Alors qu'en réalité, t'es le genre de gars, qui n'ose rien - est presque effrayé, comme une bête… Comme une chouette, prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers… À rougir, tel un bel idiot balafré… Qu'est-ce qui t'avait bien pris de lui balancer cela, tout simplement ? Alors que vous ne vous connaissiez guère… Comme qui dirait ; ni d'Ève, ni d'Adam…

Toutefois, vos doux regards envoûtants, se croisaient mutuellement, un mignon petit rictus peignaient les lèvres pulpeuses, de ce bel et tendre apollon à la carrure magnifiquement élancée, gracieuse, musclée… Se risquant, même, à s'approcher que plus encore de toi - que vos souffles saccadés, s'y mêlaient harmonieusement, dans l'ambiance féerique, tamisée… Tandis que ton rythme cardiaque s'emballait, tambouriner follement ; bien que tu retinsses, d'une agréable stupeur, d'une éloquente torpeur, ton souffle coupé… Te noyant irrévocablement, dans l'abysse triomphant de ces orbes bleutés… Croyant pratiquement qu'il allait te voler un furtif baiser, pour le moins passionné… À mesure que tu te mis à avaler, bien difficilement, ta salive… Si ce n'est qu'elle restait coincée dans le fond de ta trachée… Ouais, tu faisais clairement moins le malin, là… Ce n'est tant l'idée, que tu avais peur de tout cela… Ou que tu ressentais une honte certaine, furibonde, mais tu devais bien te l'avouer, vous ne jouiez point dans la même cour ; lui, il était dans celle des grands !

« Si c'est une blague, je vous assure qu'elle est de très mauvais goût… Si, au contraire, votre proposition est sérieuse... » Se risquait-il d'ajouter, d'une voix cristalline, sereine… Aussi limpide que de l'eau de roche, bien que tout aussi ferme… Avant même de se marquer d'une légère pause, pour mieux te contempler, te dévorer de son doux regard pénétrant, troublant… Qu'un doux éclair de lubricité se reflétait dans ses iris chatoyants, qui te fit presque faillir - où tu sentais que tes jambes te trahissaient, avaient du mal à te tenir en équilibre, tant elles semblaient cotonneuses… Cependant, que ton âme battait à tout rompre, au point d'imploser… Que tu louchais entre ses billes océaniques, ainsi que ses douces lèvres… Alors que le charmant, parfait, petit brun se rapprocher de ton oreille… « Je crains que ce ne soit ni le lieu, ni le moment... » Achevait-il, d'un ton beaucoup plus suave, mélodieux… Presque d'un d'un pâle murmure, qui t'arrachait d'agréables frissons, qui parcouraient ton échine, tout autant que tu avais chaud à la fois… Bon sang, ce gars, il te faisait grave de l'effet, te faisait littéralement vibrer, rêvasser ! Comme il venait si bien de te souffler, si vous étiez, tous deux, dans un endroit plus intimiste, approprié, tu n'aurais manqué l'idée de te jeter sur lui, pour lui capturer, passionnément, ses lèvres ; chercher sa langue dans une danse furibonde… De l'arracher de son coûteux accoutrement… Pourtant… Pourtant, il avait raison… Tu devais te montrer sage, prudent… L'occasion, le moment n'était guère appropriés… Et qui plus est, ce brave avait l'air de douter, sur l'instant, de tes intentions, tes sentiments, qui avaient l'air fort bien sincères, forts louables… Certes, tu n'avais peut-être l'expérience, niveaux relations amoureuses - et d'autant plus avec des hommes… Tu n'avais aucun mérite à cela… Ni de t'en vanter, mais jamais, tu ne t'amuserais aux dépens des petites gens, de leurs ressentis… Encore moins pour ce cher et tendre Davenport !

« Qu'est-ce qui vous ferait croire que c'est une blague, Monsieur Maxime ? » Lui retournais-tu, d'un timbre tout aussi mélodieux, séduisant, mais tendre… Afin de détendre l'atmosphère… L'abreuvant de ce doux petit surnom… Bien que tes intentions semblaient évidentes : un ton, un geste, presque affectueux, amusant… De douces pensées, qui, tu consentais, se vouaient totalement sincères, réciproques… Le dévorant du regard - t'attardant sur chaque trait envoûtant, délicat, de son doux visage… De sa magnifique carrure, parfaitement dessinée, sculptée, sagement retenue par ses tissus, soigneusement coupés. Fais sur mesure, dont tu te serais bien passé, volontiers, de glisser à même le sol… Okay… Fallait te reprendre…

« Une chose à savoir : jamais, je ne m'abaisserais à vous faire ce genre de coup… Surtout aussi bas… Mes intentions et sentiments seront toujours sincères. Je vous en donne ma parole ! Mais… Vous avez bien raison… Ce n'est pas le bon moment pour cela... » Lui révélais-tu, d'une voix cristalline, suave… Approuvais-tu, d'un simple signe de tête… Te risquant, le temps de quelques longs instants seulement, à agripper son bras, doucement… Sans lui causer le moindre heurt… Ni de le brusquer, le froisser, de quelques manières, que cela fût, naturellement… Le toisant intensément - louchant entre ses billes océaniques, ses fines lèvres… Afin de lui faire saisir que, de tes douces paroles, tes forts sentiments, tu n'en démordais point ; que tu semblais des plus sincères, sérieux… À mesure que tu le vis délicatement se reculer ; mettre une distance courtoise entre vous deux, finalement… Vaguant, même, vers d'autres convives, d'autres petites gens… Tandis que, de temps à autre, vos doux regards se posaient mutuellement, sensuellement, l'un sur l'autre… Que tu lui rendais un mignon petit rictus, tout autant que tu ressemblais à un idiot balafré, rougissais comme une pivoine, dès que tu le sentais t'observait… Laissant s'échapper un éclat de rire timide, mais cristallin… Te mordant la lèvre inférieure ou passant, grattant légèrement ta tête, lorsque tu demeurais troublé… Ouais, fallait te ressaisir, te concentrer sur autre chose… Tu te sentais quelque peu à l'étroit dans ton pantalon, à dire vrai… L'envie de faire des montagnes russes, tu n'allais y réchapper !

Tandis que vous vous éloigniez progressivement, que vous vous mêliez à la dense mélasse… Qu'un nouveau charmant, petit rictus peignait les recoins de ses lèvres, rehausser de douces fossettes, que tu aurais pratiquement envie de déposer de furtifs, tendres petits baisers, tu le confessais… Tu vis le séduisant, parfait jeune homme se dirigeait vers le vigile, se tenant aussi droit qu'un piquet, une simple planche de bois soufflée… L'air fort bien sérieux, impassible… Lui adressant ainsi la parole, alors que tu continuais ton enquête, griffonner dans ton carnet, concentré… Bien, à ce tarif-là, tu aurais de quoi faire un article, bien fourni, objectif… Qui sortirait bien rapidement… Pour sûr ! De cela, tu y veillerais !

Emporter dans la vague effervescente, l'engouement animé de l'événement, tu ne voyais plus guère le temps s'égrenait… Certes, tu échangeais avec passion, le plus grand plaisir qu'il fût, avec d'autres convives… Alors que le sujet sur l'astronomie, les dernières découvertes sur le cosmos, te prenait… Tu pouvais aisément, inéluctablement, y passer des heures, tu l'admettais… Notamment, les notes avaient déferlé, bien noircies ton petit cahier, de ta patte de mouche, oui… Mais il serait d'autant plus avisé de quitter les lieux, désormais… De ne point abuser de l'amabilité du directeur, de la mélasse… Au risque solennel de fuir à la vue envoûtante, troublante, de ce beau brun, qui tant, te plaisait, te faisait de l'effet : celui qui t'avait fort bien confessé, il est vrai, qu'il ne se passerait rien de plus… À tout du moins, ici même… Tu pourrais te risquer à sortir, flânais aux alentours luxuriants… De l'attendre, tout sagement, oui… Mais lui, serait-il d'humeur délicate à aller plus loin avec toi ? Le jeune homme si insignifiant, quelconque, que tu demeurais ? Était-ce seulement réciproque, tes sentiments ? Tes désirs affriolants, qui te consumaient, voulaient te pousser à goûter au sucre raffiné de ses fines lèvres… De sentir de tes doigts, sa divine musculature - de sentir son palpitant cognait… Que cette douce proximité, cette romance dorée, naisse aux prémisses permanentes, de sensuelles caresses et baisers langoureux, passionnés ? Recherchait-il également cela, alors que vous ne vous connaissiez plus que cela ? Que ce n'était, sans nul doute plausible, rien de plus, qu'une ombre, une simple pensée, que tu croyais aimé ? Non, en effet… Tu n'avais tant chance… Ce serait trop beau pour être réel, tout cela… Pourquoi diantre, quelqu'un comme ce cher et séduisant, parfait Maxime Davenport, serait touché, aurait des vues sur toi, quand il pouvait avoir qui il désirait réellement, quand il le désirerait ?

Glissant quelques banalités courtoises, au charmant, implacable gorille, qui restait bel et bien de marbre ; aussi raide qu'à ses tout premiers instants… Signifiant, dans la volée, que tu avais tout ce que tu désirais, tu te faufilais en dehors de l'imposant, éloquent observatoire… Trottinant délicatement, sur la pelouse fraîche, gelée… Rêvassant, contemplant le crépuscule vacillant, l'horizon scintillant de diamants… Parant notre sphère de cette toile étoilée, avec cette certitude inéluctable, que cet homme, pour qui tu avais royalement craqué, sans ne savoir pour quelle raison nécessaire, cependant, tu finirais, tôt ou tard, par agréablement le croiser, le retrouvait… Que le caprice complice du destin, lancerait fort bien les dés… Que, comme à l'océan, l'amour, le désir, vous emporterez… Telle une violente vague… Sans que vous ayez guère l'essence même de vous en rendre compte… Vous laisseriez sombrer dans l'abysse infernal… Que tu aurais la chance, le plaisir certain d'être aimé, pour tout ce que tu représentais, tout comme tu ferais de même à son égard… De le chérir, le préserver, plus que nécessité… De te donner, tout entier - t'offrir à lui, sans le moindre détour, le moindre ménagement… Sans que la honte, la torpeur incandescente ne te brûle à jamais… Ce serait vous deux, envers et contre tous. Contre vents et marées… Tu le concevais…
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Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 78





Qwantify Lover
Mar 24 Oct - 18:28
@"Max Davenport" & @"Chase Marschall"

Tu te savais pertinemment, au fond de ton être, que tu ne devais être le premier à l'aborder sensuellement, le draguer ouvertement, de la sorte… Pour sûr… D'autant plus que le séduisant, charmant jeune homme avait fini par déclarer, très rapidement, lors d'une interview, à l'affût d'une mélasse de petites gens, qu'il demeurait plus attiré par la gante masculine, qui plus est ! Sans toutefois en ajouter plus, rentrer dans les détails : quant à savoir s'il semblait en couple ou non, cela restait un mystère, sans équivoque ! En même temps, tu pouvais aisément en saisir ses propres raisons… Après tout, il était là pour son emploi, pour prendre davantage en notoriété, en assurance ! Point forcément pour trouver son âme-sœur, le seul, le vrai ! L'incendiaire ! Celui qui illumine, colore son existence salvatrice, quand tout n'est que fadeur glaciale, sans la moindre saveur… Parait d'effroyables tourments… Pour cela, par ailleurs, tu devais le consentir ; il s'était montré fort bien courageux, pour oser le souffler ! Toi-même, dans son cas… À sa place, tu ne savais, si tu aurais eu l'étoffe de t'exécuter ! Et pourtant, voilà que tu venais de lui faire, sans ambages, ni le moindre détour, des avances, en cette folle soirée, parait de cotillons, de promesses dorées, florissantes ! À croire que tu étais né, avait toujours cultivé ce talent… Alors qu'en réalité, t'es le genre de gars, qui n'ose rien - est presque effrayé, comme une bête… Comme une chouette, prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers… À rougir, tel un bel idiot balafré… Qu'est-ce qui t'avait bien pris de lui balancer cela, tout simplement ? Alors que vous ne vous connaissiez guère… Comme qui dirait ; ni d'Ève, ni d'Adam…

Toutefois, vos doux regards envoûtants, se croisaient mutuellement, un mignon petit rictus peignaient les lèvres pulpeuses, de ce bel et tendre apollon à la carrure magnifiquement élancée, gracieuse, musclée… Se risquant, même, à s'approcher que plus encore de toi - que vos souffles saccadés, s'y mêlaient harmonieusement, dans l'ambiance féerique, tamisée… Tandis que ton rythme cardiaque s'emballait, tambouriner follement ; bien que tu retinsses, d'une agréable stupeur, d'une éloquente torpeur, ton souffle coupé… Te noyant irrévocablement, dans l'abysse triomphant de ces orbes bleutés… Croyant pratiquement qu'il allait te voler un furtif baiser, pour le moins passionné… À mesure que tu te mis à avaler, bien difficilement, ta salive… Si ce n'est qu'elle restait coincée dans le fond de ta trachée… Ouais, tu faisais clairement moins le malin, là… Ce n'est tant l'idée, que tu avais peur de tout cela… Ou que tu ressentais une honte certaine, furibonde, mais tu devais bien te l'avouer, vous ne jouiez point dans la même cour ; lui, il était dans celle des grands !

« Si c'est une blague, je vous assure qu'elle est de très mauvais goût… Si, au contraire, votre proposition est sérieuse... » Se risquait-il d'ajouter, d'une voix cristalline, sereine… Aussi limpide que de l'eau de roche, bien que tout aussi ferme… Avant même de se marquer d'une légère pause, pour mieux te contempler, te dévorer de son doux regard pénétrant, troublant… Qu'un doux éclair de lubricité se reflétait dans ses iris chatoyants, qui te fit presque faillir - où tu sentais que tes jambes te trahissaient, avaient du mal à te tenir en équilibre, tant elles semblaient cotonneuses… Cependant, que ton âme battait à tout rompre, au point d'imploser… Que tu louchais entre ses billes océaniques, ainsi que ses douces lèvres… Alors que le charmant, parfait, petit brun se rapprocher de ton oreille… « Je crains que ce ne soit ni le lieu, ni le moment... » Achevait-il, d'un ton beaucoup plus suave, mélodieux… Presque d'un d'un pâle murmure, qui t'arrachait d'agréables frissons, qui parcouraient ton échine, tout autant que tu avais chaud à la fois… Bon sang, ce gars, il te faisait grave de l'effet, te faisait littéralement vibrer, rêvasser ! Comme il venait si bien de te souffler, si vous étiez, tous deux, dans un endroit plus intimiste, approprié, tu n'aurais manqué l'idée de te jeter sur lui, pour lui capturer, passionnément, ses lèvres ; chercher sa langue dans une danse furibonde… De l'arracher de son coûteux accoutrement… Pourtant… Pourtant, il avait raison… Tu devais te montrer sage, prudent… L'occasion, le moment n'était guère appropriés… Et qui plus est, ce brave avait l'air de douter, sur l'instant, de tes intentions, tes sentiments, qui avaient l'air fort bien sincères, forts louables… Certes, tu n'avais peut-être l'expérience, niveaux relations amoureuses - et d'autant plus avec des hommes… Tu n'avais aucun mérite à cela… Ni de t'en vanter, mais jamais, tu ne t'amuserais aux dépens des petites gens, de leurs ressentis… Encore moins pour ce cher et tendre Davenport !

« Qu'est-ce qui vous ferait croire que c'est une blague, Monsieur Maxime ? » Lui retournais-tu, d'un timbre tout aussi mélodieux, séduisant, mais tendre… Afin de détendre l'atmosphère… L'abreuvant de ce doux petit surnom… Bien que tes intentions semblaient évidentes : un ton, un geste, presque affectueux, amusant… De douces pensées, qui, tu consentais, se vouaient totalement sincères, réciproques… Le dévorant du regard - t'attardant sur chaque trait envoûtant, délicat, de son doux visage… De sa magnifique carrure, parfaitement dessinée, sculptée, sagement retenue par ses tissus, soigneusement coupés. Fais sur mesure, dont tu te serais bien passé, volontiers, de glisser à même le sol… Okay… Fallait te reprendre…

« Une chose à savoir : jamais, je ne m'abaisserais à vous faire ce genre de coup… Surtout aussi bas… Mes intentions et sentiments seront toujours sincères. Je vous en donne ma parole ! Mais… Vous avez bien raison… Ce n'est pas le bon moment pour cela... » Lui révélais-tu, d'une voix cristalline, suave… Approuvais-tu, d'un simple signe de tête… Te risquant, le temps de quelques longs instants seulement, à agripper son bras, doucement… Sans lui causer le moindre heurt… Ni de le brusquer, le froisser, de quelques manières, que cela fût, naturellement… Le toisant intensément - louchant entre ses billes océaniques, ses fines lèvres… Afin de lui faire saisir que, de tes douces paroles, tes forts sentiments, tu n'en démordais point ; que tu semblais des plus sincères, sérieux… À mesure que tu le vis délicatement se reculer ; mettre une distance courtoise entre vous deux, finalement… Vaguant, même, vers d'autres convives, d'autres petites gens… Tandis que, de temps à autre, vos doux regards se posaient mutuellement, sensuellement, l'un sur l'autre… Que tu lui rendais un mignon petit rictus, tout autant que tu ressemblais à un idiot balafré, rougissais comme une pivoine, dès que tu le sentais t'observait… Laissant s'échapper un éclat de rire timide, mais cristallin… Te mordant la lèvre inférieure ou passant, grattant légèrement ta tête, lorsque tu demeurais troublé… Ouais, fallait te ressaisir, te concentrer sur autre chose… Tu te sentais quelque peu à l'étroit dans ton pantalon, à dire vrai… L'envie de faire des montagnes russes, tu n'allais y réchapper !

Tandis que vous vous éloigniez progressivement, que vous vous mêliez à la dense mélasse… Qu'un nouveau charmant, petit rictus peignait les recoins de ses lèvres, rehausser de douces fossettes, que tu aurais pratiquement envie de déposer de furtifs, tendres petits baisers, tu le confessais… Tu vis le séduisant, parfait jeune homme se dirigeait vers le vigile, se tenant aussi droit qu'un piquet, une simple planche de bois soufflée… L'air fort bien sérieux, impassible… Lui adressant ainsi la parole, alors que tu continuais ton enquête, griffonner dans ton carnet, concentré… Bien, à ce tarif-là, tu aurais de quoi faire un article, bien fourni, objectif… Qui sortirait bien rapidement… Pour sûr ! De cela, tu y veillerais !

Emporter dans la vague effervescente, l'engouement animé de l'événement, tu ne voyais plus guère le temps s'égrenait… Certes, tu échangeais avec passion, le plus grand plaisir qu'il fût, avec d'autres convives… Alors que le sujet sur l'astronomie, les dernières découvertes sur le cosmos, te prenait… Tu pouvais aisément, inéluctablement, y passer des heures, tu l'admettais… Notamment, les notes avaient déferlé, bien noircies ton petit cahier, de ta patte de mouche, oui… Mais il serait d'autant plus avisé de quitter les lieux, désormais… De ne point abuser de l'amabilité du directeur, de la mélasse… Au risque solennel de fuir à la vue envoûtante, troublante, de ce beau brun, qui tant, te plaisait, te faisait de l'effet : celui qui t'avait fort bien confessé, il est vrai, qu'il ne se passerait rien de plus… À tout du moins, ici même… Tu pourrais te risquer à sortir, flânais aux alentours luxuriants… De l'attendre, tout sagement, oui… Mais lui, serait-il d'humeur délicate à aller plus loin avec toi ? Le jeune homme si insignifiant, quelconque, que tu demeurais ? Était-ce seulement réciproque, tes sentiments ? Tes désirs affriolants, qui te consumaient, voulaient te pousser à goûter au sucre raffiné de ses fines lèvres… De sentir de tes doigts, sa divine musculature - de sentir son palpitant cognait… Que cette douce proximité, cette romance dorée, naisse aux prémisses permanentes, de sensuelles caresses et baisers langoureux, passionnés ? Recherchait-il également cela, alors que vous ne vous connaissiez plus que cela ? Que ce n'était, sans nul doute plausible, rien de plus, qu'une ombre, une simple pensée, que tu croyais aimé ? Non, en effet… Tu n'avais tant chance… Ce serait trop beau pour être réel, tout cela… Pourquoi diantre, quelqu'un comme ce cher et séduisant, parfait Maxime Davenport, serait touché, aurait des vues sur toi, quand il pouvait avoir qui il désirait réellement, quand il le désirerait ?

Glissant quelques banalités courtoises, au charmant, implacable gorille, qui restait bel et bien de marbre ; aussi raide qu'à ses tout premiers instants… Signifiant, dans la volée, que tu avais tout ce que tu désirais, tu te faufilais en dehors de l'imposant, éloquent observatoire… Trottinant délicatement, sur la pelouse fraîche, gelée… Rêvassant, contemplant le crépuscule vacillant, l'horizon scintillant de diamants… Parant notre sphère de cette toile étoilée, avec cette certitude inéluctable, que cet homme, pour qui tu avais royalement craqué, sans ne savoir pour quelle raison nécessaire, cependant, tu finirais, tôt ou tard, par agréablement le croiser, le retrouvait… Que le caprice complice du destin, lancerait fort bien les dés… Que, comme à l'océan, l'amour, le désir, vous emporterez… Telle une violente vague… Sans que vous ayez guère l'essence même de vous en rendre compte… Vous laisseriez sombrer dans l'abysse infernal… Que tu aurais la chance, le plaisir certain d'être aimé, pour tout ce que tu représentais, tout comme tu ferais de même à son égard… De le chérir, le préserver, plus que nécessité… De te donner, tout entier - t'offrir à lui, sans le moindre détour, le moindre ménagement… Sans que la honte, la torpeur incandescente ne te brûle à jamais… Ce serait vous deux, envers et contre tous. Contre vents et marées… Tu le concevais…





Chase : Poste 4 (Final) 394856707-241034195625057-3948536712338628467-n



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