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IVY-CELESTE APPLEWHITE / KANE ☞ Writing’s on the Wall (Présentation, River & Hills)

Qwantify Lover
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 78





Qwantify Lover
Mer 23 Aoû - 15:03

IVY-CELESTE APPLEWHITE
feat BLAKE LIVELY
Prénom Ivy-Céleste. Un prénom qui se veut original, quelque peu singulier, que ta mère a choisi. N'aimant guère les prénoms composés, jugeant cela que bien trop long à porter, ton père dut néanmoins s'y résigner, sous l'aimable persévérance de sa femme... Ivy. Un nom tiré de la bande du dessin animé de « Batman » , dont la douceur irréelle, séduisante, se veut tout aussi piquante… Ouvertement, tu restes une jeune femme docile. En particulier auprès de ton époux. Mais tu es loin d'être innocente, naïve pour autant... Céleste. Variante dorée, communément adulée de par le monde. « Cecilia » en outre, demeure un péjoratif constant, à travers les méandres de certaines communautés. « Ciel divin » étant la particularité significative de ce doux nom. Pour certaines petites gens, oui, tu es l'ange tombé du ciel, pour les arracher à leurs tourments. Ou au contraire, les broyant, sur-le-champ… Quant au second prénom, il s'agit de Brona. Un prénom gaélique, qui signifie en réalité « tristesse. » Cela paraît d'autant plus étonnant, il est vrai… Il n'en reste guère que tu ne l'apprécies, au fond de ton être, de ta frêle silhouette… Nom Applewhite : Ce nom de famille semble des plus mélodieux, respectables, immuables, indomptables, tel l'esprit fougueux, irascible et implacable de ton mari… Nom qui se veut symbolique, réputé de par son caractère trempé, sa carrière, il est vrai… Mais qui pourtant réussissent à t'arracher quelques frissons qui parcourent ton échine... Derrière ce masque de douceur, d'une beauté incomparable, prône une ombre, une peur qui s'engendre à l'est… Les mains liées, la promesse solennelle de le soutenir, de le protéger, contre vents et marées, en dépit du mal qu'il te cause irrémédiablement, tu te sens prisonnière de tes paroisses de verres, de ton boudoir, qui ne cessent de se refermer sur ton être, ta frêle silhouette, à longueur de journée. Comme un vulgaire clapier… Votre romance découle d'un mensonge, une sombre mascarade dont il tire les ficelles, amusé… Tu souhaiterais de toute ton âme meurtrie pouvoir te dérober. Le fuir à jamais, à sa vue indignée, empourprée… L'idée d'un divorce, t'as bel et bien effleuré l'esprit. Maintes fois. Seulement, tu sais que tu as bien plus à perdre… Qu'il te rendrait la vie davantage impossible qu'il ne te le fait subir, dans la volée… Pleurs les violons de ta vie, la violence de ses envies, sous les échos de sa colère incontestée, les effluves d'alcool l'amenant à te blâmer, tu tentes vainement de masquer certaines marques délaissées sur ta peau de nacre, sous une couche honteuse de correcteur, de maquillage... Ripostant de ton côté, l'incitant à déverser son venin, qui coule inlassablement dans tes veines, telle la morsure du serpent… Incandescente fourberie, fieffée filouterie, sombrant dans la mélomanie, dans la totale disharmonie… Relation toxique, dévastatrice, qu'il manipule à son aise, comme les crimes volages d'un illustre cleptomane, un vulgaire forcené… Prenant malin plaisir à te tourmenter… Devrais-tu oser avouer à l'égard de certaines petites gens que c'est le mari idéal, rêver ? Plus que parfait ? Que tu l'aimes toujours follement ? À t'en damner ? Non, naturellement… Ces chaînes d'aciers, tu les portes encore et toujours. Car telle est ta responsabilité, ton devoir à son égard, jusqu'à preuve du contraire… date et lieu de naissance Le 23 décembre 1988, tu l'as vu ou plutôt aperçue entre tes yeux mi-clos, à Vienne, en Autriche. Alors que l'hiver s'était paré de son doux manteau blanc, qui surplombait ainsi toute la ville au demeurant, où le doux écho provenant des quelques chorales, fusaient à travers les vitraux du Rathaus… Qu'une odeur enivrante de bretzel, de würst, ainsi que de vin chaud, se mêler, se laisser emporter par la brise incertaine et glacée… Quelques éclats de rires cristallins, de bruits sourds, fracassants, venant se nicher au gré d'un pâle carrelage de fraîcheur que procurait la patinoire… Les flammes vacillantes sur quelques murs délabrés, qui attisaient le regard vitreux de certaines petites gens, cherchant à se protéger, s'emmitoufler dans leur chaud duvet, alors que toi, tu ne pensais qu'à te nourrir, sentir le doux parfum enivrant et naturel de ta mère. Dormir dans le creux de ses bras, de surcroît… origines La pluie verglaçante, assombrissant le ciel étoilé... Les pubs, aux douces lumières chatoyantes, où quelques clients viennent s'abreuver, afin de décompresser de leurs folles journées éreintantes, mouvementées… Un bon fish and chips, pour décompresser… Les touristes flânant dans les ruelles spacieuses, goudronnées. Attisant leurs regards curieux, admiratifs, devant Saint Pierre, la Tour de Londres, le London Eye… Pataugeant dans le luxe de la tamise, des fastidieux palais de Buckingham… Un petit café serré à déguster avec plaisir, dans la spacieuse demeure de Dickens… Les jeunes, s'émerveillant de la féerie intemporelle des studios d'Harry Potter… Les candidats, qui se ramassent à la pelle, pour se jouer les Mary Poppins en herbes, ou encore, les Sherlock Holmes, les Peter Pan… La fameuse Angleterre, que beaucoup adulent, se sentent charmés, comme tu l'es tout autant, au demeurant… Oui, tu tiens fièrement ces quelques origines de par ta mère, l'ainée de la respectable famille Davenport… Un pays qui t'ait tout aussi cher, à tes orbes bleutés, dans ton âme damnée. orientation sexuelle Il n'y a que la gante masculine, qui te fait vibrer. En effet, il n'y a rien de tel, qu'une bonne paire de bras musclés, pour t'enlacer, te protéger de tout, contre vents et marées… Une démarche gracieusement féline, éloquente... Un doux rictus à faire fondre sur place, un parfum enivrant… Un rire cristallin, qui te fait faillir, défaillir et dont tu ne te lasses guère d'entendre à longueur de journée, de temps. Une carrure magnifiquement élancée, imposante… Oui, tout ça, ça te fait baver ! Tu resteras toujours une éternelle hétérosexuelle. Métier Rêvant tutus, chaussons, danse gracieuse sur un air de Tchaïkovski, tu te complaisais à l'idée de devenir une étoile montante, au sein de grands ballets. Et ce, depuis toute petite… Malencontreusement, pour toi, ton rêve ne put se réaliser, étant donné que vers l'âge de tes quinze ans, tu vécus, subit un grave accident de voiture qui faillit te coûter la vie… C'est ta jambe droite qui empâtait sur la douleur et qui manqua de te la faire perdre, pratiquement… De cette opération fort bien risquée, de ce sombre rappel, il ne te reste qu'une simple cicatrice refermée, qui, parfois, en dépit de l'humidité : signe alarmant, qu'une averse va déferler, dans la volée… Qui te cause instinctivement quelques lancinantes douleurs, qui restent toutefois passagères, aussi éphémères, tel le doux vol mélodieux d'un papillon… Te faisant quelques fois clopiner, trottiner… Jambe légèrement foulée, comme la patte d'un sauvage animal errant, à travers les méandres de la mélancolie… Marécage boueux de la folie, ton merveilleux mari s'amuse à tes dépens, te nommant gentiment la « Docteur House » des temps modernes - s'amusant à t'offrir, comme chaque année, une canne à l'esthétisme étonnante, parfois romantique, raffinée. Épurée, en périodes hivernales. Bien que cela ne parte guère d'une mauvaise intention, toutefois, tu ne peux t'empêcher de serrer les dents d'amertume, de désarroi certain… Comme à l’accoutumée… Avant même de les ranger, les condamnés dans le grenier… Prenant, mordant machinalement la poussière, il est vrai… À la suite de cet événement traumatisant, tu devais logiquement te choisir une autre vocation… Te voulant une personne, un peu romanesque, bohème. Élégante éloquence, tu te surpris toi-même à te diriger dans l'art artisanal, de tout métier… Depuis quelques années, désormais, tu fais équipe avec un ami d'enfance. Vous avez monté, ensemble, votre propre société. Lui est architecte de maison, toi, tu t'es revendiqué comme designer d'intérieur en chef. Cet attrait de ta personnalité n'a toujours eu de gage, de cesse que de t'y bercer… Tu t'es toujours montrée minutieuse, observatrice. Anticipant le besoin, le désir des petites gens… Tu souhaites ardemment que tout demeure parfait, au demeurant… Au risque de te faire passer pour quelqu'un de superficiel, il est vrai… Toutefois, chez toi, le design, la beauté, le physique passe, compte avant tout… Particulièrement chez les gens… Vous avez rencontré de nombreux obstacles, avec ton acolyte… Des bons, des mauvais… Il t'arrive de faire dans l'événementiel, également... Mais, ce que tu adules par-dessus tout, c'est de marier l'ancienneté, l'authenticité avec la modernité. Tu es très respecté, demandé sur le marché ! Pour le bonheur de tes clients luxueux, tu combles le moindre de leurs fantasmes, sans regarder à la dépense tout autant ! Ainsi, avec eux, tu peux te le permettre, te lâcher. Sous les médisances de ton mari, de ton cher Montgomery, cela te met davantage du beurre dans les épinards ! Tu t'épanouis à mesure qu'il se montre vert de jalousie… Il ne souhaite que tu perces, te laisse guider, baigner dans le prônant succès… Mais tu l'ignores irrévocablement, promptement… Sachant que davantage, il te maudit, tu le contraries… Et tu souris encore et toujours, telle une belle idiote balafrée… Depuis peu, ton charmant associé, t'as gentiment proposer des émissions à filmer, à faire passer aux médias, pour vos projets en constructions. Cela te charme d'une certaine manière, cependant, tu hésites… Tu doutes que derrière le rideau teinté de la scène, se dévoile la supercherie de ta sombre mascarade, que demeure ta vie salvatrice, Ô combien destructrice… Que soit révélé, finalement, tes sentiments inavoués… Alors, tu ne fais que reporter l'échéance, un peu plus encore… Autant que faire se peut… Lui précisant que, sur l'instant, tu as d'autres chats à fouetter… statut financier $$$. statut familial La promesse solennelle, irréfutable, de le protéger, envers et contre tous, contre vents et marées… Les mains à jamais lier… Si jadis, tu as eu de forts sentiments, sincères de surcroît, à l'égard de ton cher Montgomery… Que tout ce qui t'entourait, t'avait semblé abstrait, indigne de tout intérêt… Qu'il n'y avait eu que ton bel apollon à la carrure magnifiquement gracieuse, imposante, musclée, qui avait compté, c'était bel et bien ce qu'il subsistait… Tu avais souhaité de toute ton âme meurtrie, esseulée, pouvoir le combler. Sur tous les plans, les fronts nivelés… Avec lui, ton monde avait retrouvé un but existentiel - il avait retrouvé de sa saveur, de sa splendeur, de son éclat... Dans une douce torpeur irréelle, une magique atmosphère, coincée dans la stratosphère… Une demande en mariage rêvassée, depuis maintes années… Aux relents divins, d'un romantisme sans faille, incontesté… Voilà qu'aurait pu ainsi continuer votre joli conte de fées ! Mais aussitôt qu'il n'était apparu à tes orbes bleutés, il s'évapora pourtant si tôt dans les brumes de la nuit, de l'amertume… La mélancolie sidérée, hébétée, meurtrie… Ternie, imploser, colorer de son amère odeur de rouille… Le souci avec les relations amoureuses, c'est que l'on croit encore et toujours que certaines en sont si fortes, qu'elles pourront résister à tout. Mais ce n'est point vrai… La confiance qui s'étiole, la lassitude, les mauvais choix… Les soleils trompeurs de la séduction, la voix chaude des sales cons… Les longues jambes galbées des sales hypocrites… Les injustices complices du destin : tout concourt à tuer l'amour… Dans ce genre de combat inégal, les chances de victoire sont minces et tiennent plus de l'exception que de la règle… Votre parfaite idylle, c'était manifestement brisé… Se fissurant irrémédiablement… Comme ton âme, en mille et un éclats... Peu à peu, au fil du temps, plus tu avais le malheur de le blesser, le froisser, bien malgré toi… Même si cela n'en avait guère été tes intentions, dans le fond, la raison l'avait fui sans contritions… Te ruant de bleus, de coups, que sans nul cesse, tant bien que mal, tu encaisses… Tu avais été si naïvement berné… Tu devais à tout prix le payer ; l'enivrer dans une folle passion, reliée qu'à ses propres désirs ardents, brûlants, égoïstes, insensibles… L'idée d'un divorce t'a maintes fois effleuré ton esprit ébranlé... Un ballon noir, ce dernier t'avait vendu, te clouant inéluctablement les pieds. Te raccrochant à tes sombres pensées… Tu aurais pu, il est vrai… Mais tu te savais pertinemment, parfaitement, qu'il te le ferait à même regretter… Après cela… Après ces quelques années de bonheur échangé, tu ne fus plus jamais la même… Tu t'éloignais de lui, ne remplissant tes engagements, tes obligations de femme aimante, mariée… Sans nul doute plausible que cela constituer à te cocufier qui sait ? Tu n'avais su le tolérer, le supporter… Les disputes s'enchaînaient, tels les crimes volages d'un cleptomane, un illustre forcené… Il n'avait de cesse que de te le rappeler… Sans quoi, son lancinant courroux s'abattait, comme une plaie… Le mauvais karma se retournant contre ton être, ta frêle silhouette, cependant que tu demeurais circoncîmes, incomprise… L'idée de fonder une famille, à présent, te tétanise… Tu restes de marbre, aussi raide qu'un simple piquet, une vulgaire planche de bois soufflée… Tu ne veux guère de cela… Te sentir davantage prisonnière de tes paroisses de verres, ton boudoir, qui ne font que se renverser, se resserrer comme un étau sur toi… Tu adores les enfants, oui, mais ce n'est certainement point avec lui que tu en as envie… Le souci, c'est que tu es effrayée, telle une chouette prise dans les phares d'une voiture, une cage d'acier… Tu ne peux le lui divulguer d'emblée, sans prendre le risque qu'il ne te gifle violemment. Effroyable méfait… Rien que pour augmenter son plaisir, il serait bien capable d'abuser de toi sur votre lit gelé… Alors, en retrait, à la lisière de son inconscient, tu te risques à prendre, encore et toujours, la pilule… Bien qu'une partie de toi-même te hait, tout autant… Tu aimerais tant qu'un sublime apollon vient te secourir, te séduire. Que de son concerto, il te déconcerte, te trouble irrévocablement… Tu ne devrais point y songer, c'est malsain, tu le sais… Pourtant, tu ressens ce besoin lancinant, ultime d'être aimée… Qu'on te convoite… Tu désires follement, ardemment, que ce bel étranger t'agrippe, t'attrape dans les mailles de son filet… Plus tu réfutes tes perverses pulsions, plus elles se manifestent de ton côté… Tu veux uniquement qu'il soit à toi. À toi toute seule. Autant que tu veux lui appartenir… Vile créature manipulatrice, menteuse que tu es… De cela, tu en convenais… Troublante vérité accablante, sa mission sera de te séduire, marquer à jamais son territoire… Il ne cessera de te jeter des sorts, te damner - gentiment, te mater, te mettre à terre, jusqu'à ce que tu n'en deviennes plus guère qu'un futile amas de poussière, dont l'essentiel t'échappera encore et toujours de tes petits doigts de fées… Tu seras sa douce petite chose, son délicat jouet, qu'il ne saurait guère partager… Que tu y consentes ou non, par ailleurs… Cet homme réussira à te faire courir à ta perte, te rendre folle à lier… Game Over. Groupe Maple Syrup, of course !


Ecris l'histoire...

« Ghosts are real. This much I know... »






CHAPITRE PREMIER : DANS L'AMOUR DES DAVENPORT ♬Ce fût une journée ensoleillée, animée… Toute la famille était réunie, au plus grand complet. Les oncles, les tantes, vos parents aimants, demeuraient tous attablés, à gentiment converser, échapper des éclats de rires cristallins, enjoués… Un doux moment féerique, dont les âges du temps semblaient suspendus, retenus dans la stratosphère, tandis que tu étais aux côtés de ton cher et tendre petit cousin : Max. Dont tu t'amusais avec lui, comme si tu étais retombé, toi-même, en enfance. Avec lui, tu retrouvais une certaine part de plussoyance. Jouant à cache-cache, tu espérais de toute ton âme que cela ne s'arrêterait guère de si tôt. Vous étiez bien, ainsi, dans cette vaste demeure, aux murs calfeutrés - celle des Davenport, où, une année sur deux, toi et ta famille étaient conviées. Il y régnait là, une douce et tendre ambiance tamisée, dont tu songeais, si naïvement, que cela resterait, durant maintes années… Viles créatures idiotes, innocentes, que vous étiez... Si tu avais conscience même de tout ce que cela engendrait, peut-être en savourais-tu davantage l'instant présent… La perte, la déchéance, la mélancolie sidérée s'abattraient, non sans grande stupéfaction, sur vos êtres, vos frêles silhouettes, telle une plaie. Incandescente fourberie, fieffée filouterie, qui vous retiendraient tous, vous emporterez dans les marécages boueux de la mélomanie…



CHAPITRE DEUX : NOS ÉTOILES CONTRAIRES Ce fut une séance quotidienne, banale… Presque insignifiante, à tes orbes bleutés… Encore une dite thérapie, qui ne t'aidait guère dans ta situation, ne t'aidait à réellement tenir psychologiquement, en dépit de ton accident vécu… Allégrement meurtrie, anéantie… Brisant, ainsi, ton rêve inassouvi : à savoir, celui devenir une grande ballerine… Pour sûr que tu ne regretterais l'idée d'avoir sauvé l'une de tes amies, mais ta vocation animée, qui te passionnait, plus que la nécessité, s'effacer… Se laissant emporter par la brise glacée… C'est comme ceci que tu t'imaginais désormais… À errer sans réel but, dans cette existence salvatrice, ô combien destructrice, que tu méconnais, purgerait de ta peine… Tu étais, d'une certaine manière, bien ainsi… Dans ta petite bulle effervescente de mélancolie, dans cette peau de chagrin, que tu t'étais parée, construit… Car c'était tout ce que tu pouvais encore maîtriser à ce jour… Puis, il est apparu, comme par enchantement… L'ange tombé du ciel, pour t'arracher à tes vils tourments… Jeune homme mystérieux, envoûtant, avec un certain brin d'humour grinçant - répondant au doux nom de Montgomery Applewhite. Celui qui deviendrait ton cher mari, quand bien même des filles, il pouvait avoir toutes celles qu'il désirait, oui… Au fond de ton être, de ta frêle silhouette… En ton âme damnée, tu ne dérogeais guère à la règle, même… Il est vrai qu'il te plaisait… Toutefois, tu n'étais ce genre de fille facile : celle qui succombait à ce moindre petit sourire fendu, qui, pourtant, réussirait à t'anéantir… Les présentations furent vite lancées, les journées passées ensemble, furent enchaînées… Si bien entamées, que finalement, le séduisant apollon à la carrure magnifiquement élancée, athlétique, musclée, te déclarait son amour, ses sentiments, que, durant ce temps, tu avais sciemment repoussé… Comme si ta conscience t'avait éconduit à lui tourner le dos, ébahis de sentiments sincères, inavoués… Comme pour te faire savoir, que tu le regretterais amèrement… Sentiments considérables, qui furent bien plus réciproques, bien trop compliqués à délester… Tout te ramenait à lui, seulement à lui… C'est pourquoi, tu te risquais à le lui faire savoir, le lui prouvait tout autant de ton côté… Bien que le bénéfice du doute y demeurait, prônait insidieusement, en ton être, ta frêle silhouette, il est vrai…



CHAPITRE TROIS : DANS LA JOIE, COMME DANS LA PEINE ♬La clarté des vitraux, aux motifs soignés, chatoyants, tintant féeriquement la spacieuse cathédrale de Vienne : saint Étienne... Où les convives, tout comme ta douce et tendre moitié, étaient sagement assistés, prêtant une oreille attentive au prêtre, qui demandait davantage à vous aimer, vous chérir… De vous unir que plus encore, dans les lois sacrées de ce mariage fastueux, voilà que ton bien-aimé, t'aidait à te relever, délicatement ; en tout gentleman qu'il demeurait, à mesure que tu le remerciais chaleureusement, tendrement, lui adressant un mignon petit rictus, dans la volée - cependant que vous vous tourniez, très légèrement, envers ton doux et charmant petit cousin, Max, alors âgé de six ans, qui trottinait sensuellement, pour vous apporter, comme la tradition l'exigeait, les alliances dorées, scintillantes, sur un moelleux coussin brodé… Incidence éloquente, méfait effrayant, vous vous aperceviez, que le doux et tendre garçonnet, faillit malencontreusement tomber à terre, au risque solennel de se blesser, néanmoins que cela serait considéré comme un sombre présage de malheurs invétérés, que les alliances s'envoleraient… Maudissant, qui sait, votre romance idéale, tant rêvée, jusqu'à présent… Peut-être était-ce un signe ? Comme quoi, votre expérience, votre histoire vécue, passée aux tendres côtés de Montgomery, était déjà, bel et bien, condamnée… Qu'elle se briserait à jamais, se laisserait aller dans ce tissu de mensonges, cette toile étiolée ? Ce serait une mise en garde, un fol avertissement, que le ciel vous envoyait ! Et pourtant… Pourtant, ce n'était cela qui apportait, sur l'instant, cette misérable quiétude ; mais bien de l'état de santé de cet innocent, élégant petit brun, que ton fiancé rattrapait - le retenant de ses bras forts, musclés… À mesure que tu tentais de calmer les ardeurs lancinantes de ton âme, qui cognait, tambourinait dans ta cage thoracique, à un point tel d'imploser… Passant, à ton tour, une main délicate, autour de ses frêles épaules, t'inquiétant que davantage de son état... De saisir l'essence même, de remarquer, s'il allait bien, s'il ne s'était blessé… Un tendre geste, qui eut l'air de l'apaiser, tout comme l'assemblée, qui avait assisté, médusé, à ce malheureux incident… Tandis que ton cher et tendre Monty, le gardait, l'entourait, le temps de quelques instants, seulement, de ses bras… Alors que tu adressais à ton parfait cousin, un tendre petit rictus, lui caressant sa douce joue de nacre… Attendrissant, davantage, le pasteur, qui se décidait à lui porter secours, également : l'aidant à se délestait, l'accompagnait dans sa démarche de remettre, comme il se devait, les anneaux annonçant l'amour, la fidélité, face à l'adversité… Le remerciant tous trois, tendrement… Alors que tu passais ta frêle main dans sa douce chevelure, soigneusement peignée… Avant même que le paternel de ce dernier, l'attend patiemment ; l'aide, quelque peu, à regagner son siège… Vous laissant soin de reprendre la douce cérémonie, d'officiellement vous unir… De vous promettre soutien, tendresse et loyauté. Dans la joie, comme dans la peine… De vous protéger, envers et contre tous, contre vents et marées… Gage irréfutable, essentiel affriolant, qui s'échappait, pourtant, de tes doigts de fées… Incandescente fourberie, fieffée filouterie, qu'inconsciemment, inéluctablement, vous briseriez, telles que vos âmes damnées… Ce n'était bien qu'une ombre, une simple pensée, que tu croyais aimer…



CHAPITRE QUATRE : JE REVIENDRAI TE CHERCHER ♬Tout comme le temps pluvieux, se déroulant dans les contrées luxuriantes de Perth, assombrissant davantage l'atmosphère houleuse, qui y régnait silencieusement, c'était une journée mouvementée, des plus maussades, aux orbes éteints des convives, de la famille… En effet, bien que la cérémonie se fût déroulée, sans la moindre anicroche, fort heureusement, il n'en demeurait point moins que vous étiez tous, fort bien égarés, contrits… Au fond de ton être, de ta frêle silhouette, tu ne savais quoi ajouter de plus, que riposter, afin de montrer, avec douceur, une tendresse invétérée, un semblant de confort, de quiétude, envers ton cher et tendre cousin, qui venait de perdre, promptement, sombrement, sa pauvre mère ; ta tante bien-aimée… Vous étiez là, tous réunir, oui… Pour se soutenir, se préserver. Envers et contre tous, contre vents et marées… Tu voulais te faire la promesse dorée, lui certifier que ce serait toujours le cas… Que tu resterais toujours aux doux côtés de ton cher et parfait Max. En vain… Si vous imaginiez seulement, au demeurant, que, dès le lendemain, tout s'en irait, s'envolerait d'un simple claquement de doigts, un regard inanimé… Si seulement, tu te savais que ce dernier s'en irait, déménagerait… Que son paternel, ton oncle, s'en irait fort loin, telles des feuilles mortes, craquelaient, tourbillonnant dans la mélasse glacée… Qu'il couperait, à jamais, les ponts… Oui, si tu avais pris l'essence même de cela, tu ferais tout ce qui est nécessaire, en ton pouvoir, pour les retenir, les en dissuader ! Hélas… Tous ces tendres moments, passés en grande pompe, en grande famille, se briseraient… En mille et un éclats... Telles vos âmes meurtries, damnées…



CHAPITRE CINQ : LE TOURNANT DÉCISIF D'UNE FEMME MARIÉE ♬ Les funérailles, bel et bien, passées, tout contact insidieusement coupé, à ton plus grand désarroi certain… Afin de te changer tes idées embrouillées, te faire plaisir, ton cher et tendre mari se décidait à prendre une année sympathique, afin de faire le tour du monde, pour votre lune de miel… Une charmante attention, une douce diversion, qui eut, pour autant, de t'apaiser, te ressourcer. Bien plus que tu ne l'avouais… La promesse solennelle de vous aimer, vous soutenir… De vous préserver, plus que tout, face à l'adversité… Voici les vœux dorés, que vous vous étiez soufflés... Des années de purs bonheurs, des projets pleins la tête, c'est ainsi que vous auriez pu continuer à vivre, votre joli conte de fées, il est vrai… Mais, aussitôt qu'il n'était apparu à tes orbes bleutés, il s'en fut allé ; chasser dans les méandres de l'oubli, de l'incompréhension sidérée… Sans n'être au courant de ses quelques tourments, ces désobligeants méfaits, concernant le trouble passé chaotique, de ton bien-aimé, tu eus l'erreur certaine, de faire entrer, involontairement, la violente mère de Montgomery… Fourberie insidieuse, qui, après coup, changer ton cher époux, irrémédiablement… Sous ton regard médusé, attristé… Totalement apeuré, impuissant… Cela fut une provocation engendrée, dont la confiance s'étiolait, aux détours de l'infidélité, du séduisant, charismatique apollon à la carrure magnifiquement imposante, musclée - réitérant inlassablement ces sombres schémas… Prenant maîtresse attitrée, dont tu finis, bien malgré toi, par découvrir la nouvelle, tout autant… Qui te blessait, t'irritait fortement, au demeurant… À ce jour, tu ne fus plus jamais la même… Te sentant davantage meurtrie, froisser… Lassée de ses agissements ; quand bien même, de ton côté, tu tentais vainement de te racheter, de trouver grâce à ses billes chatoyantes, lui, en revanche, n'avait cure de tout cela, de tes propres tourments… Tirant, encore et toujours, sur les ficelles, amusé… Déversant sa rancœur, sur ta douce peau de nacre… C'est ainsi, entre jongleries, pour te faire aisément pardonner… Entre insolences répétées, adultères trépassés et peur incandescente, que tu finis par te refermer, peu à peu… Telle une huître… Que tu te conjurais, pourtant, un jour - tôt ou tard, de te sauver, de fuir à sa vue empourprée, indignée… Tout en préservant tes proches, ton entourage, afin que nuls ne le regrettent amèrement… De même que pour ton être, ta frêle silhouette…



CHAPITRE SIX : TWO WORLDS, ONE FAMILY ? ♬ Un couple modèle, soigné, glamour… Une relation passionnelle, complice, parfaite, sous tout rapport ; c'est bel et bien là, ce que vous tentiez de montrer, aux esprits curieux, intrigués de certaines petites gens… Quand, en réalité, ton cher époux tentait de gentiment te mettre la pression, afin d'accomplir un fastidieux et tendre projet : celui de former, agrandir la famille… En effet, à défaut de continuer à te cocufier, par-dessus le marché, selon le séduisant et charmant petit brun, ce serait la raison suffisante, pour toi, de te racheter à ses orbes caramélisés… Aisément, te faire pardonner de ta fourberie… Cette effroyable erreur engendrée, envers ce dernier, concernant le fait d'avoir fait rentrer, une fois de plus, dans son existence bien rangée, sa mère, qui semblait avoir bien changé, de son côté, il est vrai… Un désir ardent de calmer le jeu… Pour t'aimer, te respecter, plus que la nécessité ! Comme jadis… Un rêve inassouvi, une vicieuse pression faite à ton égard, qui, au fond de ton être, de ta frêle silhouette, t'effraie, telle une vile chouette prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers… Tu désirerais, tout autant, le réaliser… Sans nul doute plausible, que tu n'aurais hésité, un seul petit instant, si ta dite, douce et tendre moitié, ne te faisais du chantage… Ne déversait sa haine furibonde sur ta douce peau de nacre, à la longueur de journée, de temps - mais commençant à bien connaître le venin du serpent, son caractère bien trempé et violent… Ses incommensurables manipulations, c'est, à tout du moins, une chose que tu ne peux te permettre de lui accorder… Sous peine désastreuse d'amèrement le regretter, à dire vrai… Toi, qui craint l'idée de ne pouvoir préserver ta propre chaire contre lui… Face à l'adversité, contre vents et marées… Qu'il agisse de même, envers ce futur petit bout de chou, sous ton regard impuissant, médusé… C'est malsain, tu le sais… Probablement qu'un jour, il s'apercevra de la supercherie de tes sentiments, de ton comportement : comme quoi, sa femme se risque, encore et toujours, à prendre la pilule… À l'abri de quelques regards indiscrets… Toutefois, tu ne peux te l'autoriser… Se permettre d'approuver, d'appuyer tes choix, tant qu'il ne consentirait à mettre du sien… À sauver votre couple, autant que tu le désirais de ton côté… Voir… À défaut de te séparer de lui… De sauver tes proches, ta mère, ta famille… De demander le divorce, au demeurant… Tu voudrais concevoir un enfant, fonder une famille, oui… Mais certainement point avec lui… Cette vile tocade, tu es fort bien obligée de la cultiver - d'agir ainsi dans son dos voûté… Quand bien même, les remords te rongent, il est vrai… Néanmoins, tu te sens rejetée, mal-aimée… Toi qui désires seulement, du plus profond de ton âme, d'être choyé, accepté pour tout ce que tu représentes, t'évertue à réaliser, dans un silence, qui n'est troublé que par ton souffle haché… Tout ceci, ce n'est qu'une ombre, que tu croyais encore aimer… Une ombre, une pensée salvatrice… Une naïveté oisive, qui se flétrit un peu plus encore, à chaque occasion présentée… De même que la confiance, la fidélité, qui s'étiole dans les brumes de la nuit, de la mélancolie sidérée…



CHAPITRE SEPT : HEURTS ET INCINDENTS ♬ Cela aurait dû être, au demeurant, une semaine magnifique, simpliste. Tendre… Un brin poétique, oui… Ta douce, innocente et parfaite Émilie : ta cousine par alliance, devait passer quelques jours à vos côtés… Ton cher et rustre d'époux, avait fait en sorte de poser quelques jours de congés, fort bien mérités, pour se poser un peu. Pour souffler… Mais surtout, profiter de ses deux femmes chéries, comme il l'avait si bien avoué à son frère, il est vrai ! Cela aurait pu se dérouler sans encombre, sans le moindre heurt, ni incident, tu le certifiais… Tu avais fait en sorte, de ton côté, pour que tout demeure parfait… Hélas, de cela, tu ne l'avais prémédité… Sans que tu n'en saches plus que nécessité ; que tu semblais inquiète, concernant l'état de santé de la charmante petite blondinette, qui demeurait alitée, même, dans votre lit conjugal… Recroqueviller en boule, en position du fœtus, pour tenter de calmer les ardeurs lancinantes de son abdomen, son ventre plat, délicat… Tu tentais de l'apaiser - autant que faire se peut, oui… Le teint blême, tu te proposais, maintes fois, d'accompagner cette malheureuse à l'hôpital, d'avertir ses tendres parents, mais rien n'y faisait, à ton plus grand désarroi… Monty ne voulait en entendre parler… Songeant, certainement, que la souffrance finirait par trépassée… Plus les minutes, les jours s'énègre, et plus il te devient intolérable de supporter cela… De la voir dans un tel état... Si d'ici quelque temps, encore, la fièvre, la douleur n'arrivait à l'apaiser, malgré le repos, les traitements que tu lui avais procurés… Au sombre risque de bafouer l'autorité, une fois de plus, de ton violent mari, tu en prendrais, dans un silence éperdu, le risque… De ta main, tu la mettrais à couper, s'il le fallait… Mais tu ne resterais là, aussi inerte qu'un poisson vidé, une simple planche de bois soufflée… Pour le bien de ta famille, tes proches, tu serais prête à tout, envers et contre tous. Contre vents et marées… Pour son bien à elle, que tout s'apaise enfin…



- Si un génie te donnait la possibilité de réaliser un vœu, lequel serait-il et pourquoi ? Cela semblerait bien cliché, bien bête de vouloir cela… De songer, bien souvent, à ce genre de banalité désuète, et pourtant… Tu aimerais tant qu'un homme vient te sortir de ta condition… De te libérer de tes chaînes d'aciers, de ton rustre d'époux... Mais surtout, tu désirerais tant qu'on t'accepte, qu'on puisse réellement t'aimer, pour tout ce que tu représentes, tout ce que tu es… De connaître le grand amour, le seul, le vrai… L'incendiaire… De fonder une famille, par la même occasion… Qui sait ? De vouloir vivre ton joli conte de fées.
- Crois-tu au coup de foudre ? Si non, pourquoi ? Tu serais bien tenté de dire oui… Que tu y crois follement, à t'en damner, qui plus est… Peut-être bien, parce que tu l'as connu toi-même, il y a de cela maintes années, désormais… À présent, tu ne sais plus guère, tu doutes… Tu as l'âme en bandoulière, en déroute… Elle est encore bien saignante, colore les murs délabrés de son amère odeur de rouille… Car, toi aussi, tu le sais… Tu as été sauvagement bernée… Telle une idiote balafrée, tu as été, tout bonnement, aveuglée… Le bonheur, l'amour, tu y as fort bien goûté - t'y est rapidement habitué, oui… Néanmoins, le marchand de ballon t'a vulgairement semé… Te clouant inéluctablement les pieds… L'amour, tu y crois toujours, oui… Les belles histoires, tu les connais, mais tu commences à songer que ce n'est pour toi… Qui voudra bien s'intéresser, aimer plus que de raison, une vile créature naïve, stupide, comme tu l'es ?
- Te rappelles-tu de ton enfance ? Si oui, raconte moi le plus vieux souvenir dont tu te souviennes Naturellement, que tu t'en souviens ! Bien que tu étais enfant unique, que tu ne roulais guère sur l'or, comme qui dirait, tu as eu une belle enfance, une bonne éducation... À dire vrai, sans demeurer l'enfant pourri, gâté, tu ne manquais jamais d'amour, de quoi que ce fût, par ailleurs ! De tous ces doux souvenirs… Notamment, avec tes chers et tendres géniteurs, cela te revient, dans ton esprit embrumé, comme si tu venais de le vivre, le ressentir la veille… Et, dit comme cela, ça parait bien simpliste, idiot, mais celui qui te frappe régulièrement, c'est quand ta tendre mère, dont l'état de santé semblait, encore, au beau fixe… Que tout demeurait à sa place constante ; stable, dans vos existences salvatrices… Mais qui, pour autant, t'arracher un mignon petit rictus, t'apaiser, étrangement, c'est quand la malheureuse faisait savoir, qu'elle était, bel et bien, rentrée, dans votre chaud au foyer… Qu'elle se mettait à composer, pianoter sur le clavecin doré, la douce, éloquente berceuse qu'elle te fredonnait, avec une tendresse certaine, pour t'aider à rejoindre le pays des songes… Avant même de te déposer un furtif baiser. Tendre, passionné, sur ton front délicat… Que ton paternel te caressait tes cheveux filasses, blonds comme les blés… Qu'ils te contemplaient, tous deux, avec amour - un amour fusionnel, une complicité apparente, qui ne s'est jamais, Ô grand jamais, flétris… Ne s'était effroyablement fané… Malgré les difficultés surmontées, l'adversité qui vous a submergé, à travers les âges jaunis, du temps écoulé... Avant même que leurs états de santé, ne les frappent, ne les déplorent, sous tes pas calfeutrés…
- Quel était le métier de tes rêves quand tu étais petit(e)? Sans grand étonnement certain, tu rêvais, effleurer l'idée, de tes petits doigts de fées, de devenir ballerine, une grande danseuse étoile, à la réputation fort sérieuse, glorieuse. En tout point, renommée. Sans te jeter davantage de fleurs, te mettre en avant, sans toutefois, écraser bons nombres de tes camarades, tu étais douée, des plus destinées pour cela ! Durant maintes années, tu t'es adonnée, bien volontiers, à cette exigeante passion ! Néanmoins, il ne put se réaliser, à ton plus grand désarroi, il est vrai… Un acte inconscient ou héroïque, que tu t'étais revendiqué - sauvant, in extremis, ton amie de l'époque, devant la salle de danse… De cette cage d'acier, qui avait déboulé de nulle part, à vive allure… Voulant l'écraser, sans ménagement… Tu n'as songé à deux fois, avant même de la secourir, tandis que c'est toi, qui pris le violent impact, te blesser à la jambe… C'est ainsi que, de ce doux songe, il n'en reste qu'une sombre cicatrice ; plaie béante, qui est d'usage de tes nombreuses opérations, vécues jadis… Et bien que tu ne regrettes amèrement ce geste, à ce jour, la rancœur s'en est allée… Tu as pu, progressivement, te reconstruire, être heureuse, épanouie. Te découvrant une passion pour l'art, l'architecture de toute sorte. Mais, principalement, en ce qui concerne le mobilier, les palettes de chaudes couleurs ! T'es devenue Designer en chef, même !

Souhaitez-vous l'intervention des esprits ? Jamais.

derrière l'écran
► Prenom : P. C'est un petit prénom, qui sonne Marseillais, en réalité, so... Je ne suis pas sûre qu'il plaise, pour le coup... ► Age : 28 ans, bientôt 29... Je suis trop une vieille ! ► Pays/Ville : - La France. Pays du vin, du fromage, du béret et de la baguette ! ► Que pense tu du forum ? : Il est vraiment doux, magnifique ! Les membrounets, comme le staff ont l'air vraiment tout choux, tout adorables ! ► Comment es tu arrivé ici ? : Grâce à mon charmant et merveilleux partner in crime : Maxou/Ryan. ► Un dernier mot : Je vous aime déjà !

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