IVY-CELESTE KANE ☞ Résumés de son histoire d'amour/topics
Date d'inscription : 17/04/2017
Algorithmes d'amour : 78
Qwantify Lover
Sam 12 Aoû - 14:13
Ivy-Céleste KaneDANS LE VASTE NÉANT DU MÉPRIS ET DU BRUIT, DANS L'OCÉAN, VIVANT DES RÊVES ÉVEILLÉS. SANS LE MOINDRE BONHEUR ET SANS LA MOINDRE VIE, SEUL LE NAUFRAGE DE MES VIES ESTIMÉES ; ET MÊME, LES ÊTRES QUE J'AIME, LES ÊTRES CHERS, ME SONT DEVENUS ÉTRANGERS - ET, JE LES PERDS...
Ce fut une séance quotidienne, banale... Presque insignifiante, aux orbes bleutés de la douce blonde... Encore une dite thérapie, qui ne l'aidait guère dans sa situation, ne l'aidait à réellement tenir psychologiquement, en dépit de son accident vécu, allégrement meurtri, anéanti... Brisant ainsi le rêve inassouvi de toujours d'Ivy ; à savoir, celui devenir une grande ballerine... Pour sûr qu'elle ne regretterait l'idée d'avoir sauvé l'une de ses amies, mais sa vocation animée, qui l'a passionnée, plus que la nécessité, s'effacer, se laissant emporter par la brise glacée. C'est comme ceci qu'elle s'imaginait, désormais... À errer sans réel but, dans cette existence qu'elle méconnaissait, purger de sa peine... Elle était, d'une certaine manière, bien ainsi... Dans sa petite bulle effervescente de mélancolie, dans cette peau de chagrin, qu'elle s'était parée, construit... Car c'était tout ce qu'elle pouvait encore maîtriser à ce jour... Puis, il est apparu, comme par enchantement... L'ange tombé du ciel, pour l'arracher à ses tourments. Jeune homme mystérieux, envoûtant, avec un certain brin d'humour grinçant, répondant au doux nom de Montgomery Applewhite. Celui qui deviendrait son cher mari, quand bien même des filles, il pouvait avoir toutes celles qu'il désirait, oui... La jeune Autrichienne ne dérogeait guère à la règle, même... Il est vrai qu'il lui plaisait. Toutefois, elle n'était ce genre de fille facile : celle qui succombait à ce moindre petit sourire fendu, qui, pourtant, réussirait à l'anéantir... Les présentations furent vite lancées, les journées passées ensemble fussent enchaînées... Si bien entamées, que finalement, le séduisant apollon à la carrure magnifiquement élancée, athlétique, musclée, lui déclarait son amour, ses sentiments, que, durant ce temps, la jeune demoiselle avait volontairement repoussée. Comme si sa conscience l'avait éconduit à lui tourner le dos, ébahis de sentiments sincères, inavoués. Comme pour lui faire savoir, qu'elle le regretterait amèrement - sentiments considérables, qui fussent bien plus réciproques, bien trop compliqués à délester... Tout le ramenait à lui, seulement à lui... C'est pourquoi, tu te risquais à le lui faire savoir, le lui prouver tout autant de ton côté. Bien que le bénéfice du doute y demeurait, prônait insidieusement en son être, sa frêle silhouette, il est vrai...
Une demande en mariage rêvassée, dans les fines contrées enneigées de Bowen… La promesse solennelle de vous aimer, vous soutenir… De vous préserver, plus que tout. Face à l'adversité… Voici les vœux dorés, que vous vous étiez soufflés, avant de réaliser votre magnifique, paisible et chatoyante lune de miel, autour du monde… Des années de purs bonheurs, les projets, plein la tête, c'est ainsi que vous auriez pusse continuer à vivre, votre joli conte de fée, il est vrai… Mais, aussitôt qu'il n'était apparu aux orbes bleutés de la douce et ravissante Autrichienne, il s'en fusse, pour autant, aller - chasser dans les méandres de l'oubli, de l'incompréhension sidérée… Sans n'être au courant de ses quelques tourments, ces désobligeants méfaits, concernant le trouble passé chaotique, de son bien-aimé, la nouvelle madame Applewhite, eusse l'erreur certaine, de faire entrer, involontairement, la violente mère de Montgomery… Fourberie insidieuse, qui, après coup, changer son bel anglais, irrémédiablement… Sous son regard médusé, attristé… Totalement apeuré, impuissant… Cela fusse une provocation engendrée, dont la confiance s'étiolait, aux détours de l'infidélité, du séduisant, charismatique apollon à la carrure magnifiquement imposante, musclée - réitérant inlassablement ces sombres schémas… Prenant maîtresse attitrée, dont la naïve blondinette, finisse bel et bien par le découvrir, tout autant… Qui la blessa, l'irrita fortement, au demeurant… À ce jour, elle ne fusse plus jamais la même… Se sentant davantage meurtrie, froisser, lassée de ses agissements ; quand bien même, de son côté, celle-ci tentait vainement de se racheter, de trouver grâce à ses billes chatoyantes, lui, en revanche, n'avait cure de tout cela… Tirant, encore et toujours, sur les ficelles, amusé… Déversant sa rancœur, sur la douce peau de nacre, de sa chère femme, c'est ainsi, entre jongleries, pour se faire aisément pardonner, insolences répétées… Adultères trépassés, et peur incandescente, que cette malheureuse, finisse par se refermer, peu à peu. Telle une huître… Qu'elle se conjurait, pourtant, un jour… Tôt ou tard, de se sauver - de fuir à sa vue empourprée… Tout en préservant ses proches, son entourage, afin que nuls ne le regrettent amèrement… De même que pour son être, sa frêle silhouette…
Un couple modèle, soigné, glamour… Une relation passionnelle, complice, parfaite, sous tout rapport ; c'est bel et bien là, ce que vous tentiez de montrer, aux esprits curieux, intrigués de certaines petites gens, quand, en réalité, le cher époux de la douce et naïve Autrichienne, tentait de gentiment mettre la pression, à sa bien-aimée, afin d'accomplir un fastidieux et tendre projet : celui de former, agrandir la famille… En effet, à défaut de continuer à la cocufiait par-dessus le marché, selon le séduisant et charmant anglais, ce serait la raison suffisante, pour sa tendre blondinette, de se racheter à ses orbes caramélisés… Aisément, se faire pardonner de sa fourberie… Cette effroyable erreur engendrée, envers ce dernier, concernant le fait d'avoir fait rentrer, une fois de plus, dans son existence bien rangée, sa mère, qui semblait avoir bien changé, de son côté, il est vrai… Un désir ardent, pour calmer le jeu… Pour aimer, respecter, plus que la nécessité, sa chère Ivy. Comme jadis… Un rêve inassouvi, une vicieuse pression faits à son égard, qui, au fond de son être, de sa frêle silhouette, l'effraye, telle une vile chouette, prise dans les phares d'une sombre cage d'aciers… Elle voudrait tout autant le réaliser… Sans nul doute plausible, que celle-ci n'aurait hésité un seul petit instant, si sa dite, douce et tendre moitié, ne lui faisait du chantage… Ne déversait sa haine furibonde, sur sa douce peau de nacre, à la longueur de journée, de temps - mais, commençant à bien connaître le venin du serpent, son caractère bien trempé et violent… Ses incommensurables manipulations, c'est, à tout du moins, une chose qu'elle ne veut se permettre de lui accorder… Sous peine désastreuse d'amèrement le regretter, à dire vrai… Elle qui craint l'idée de ne pouvoir préserver sa propre chaire, contre lui… Face à l'adversité… Contre vents et marées… Qu'il agisse de même, envers ce futur petit bout de chou, sous son regard impuissant, médusé… C'est malsain, elle le sait… Probablement qu'un jour, il s'apercevra de la supercherie de ses sentiments, de son comportement ; comme quoi, sa femme se risque, encore et toujours, à prendre la pilule… À l'abri de quelques regards indiscrets… Toutefois, elle ne peut s'autoriser… Se permettre d'approuver, d'appuyer ses choix, tant qu'il ne consentirait à mettre du sien… À sauver leur couple, autant qu'elle le désirerait, de son côté… Voir, à défaut de se séparer de lui… De sauver ses proches, sa mère, sa famille… De demander le divorce, officiellement, au demeurant… Céleste voudrait concevoir un enfant, fonder une famille, oui… Mais certainement point avec lui… Cette vile tocade, elle est fort bien obligée de la cultiver, d'agir ainsi, dans son dos voûté… Quand bien même, les remords la ronge, il est vrai… Néanmoins, elle se sent rejetée, mal-aimée… Ce petit bout de femme, qui désire seulement, du plus profond de son âme, d'être choyé, accepté pour tout ce qu'elle représente, s'évertue à réaliser, dans un silence, qui n'est troublé que par son souffle haché… Tout ceci, ce n'est qu'une ombre, qu'elle croyait pouvoir encore aimer… Une ombre, une pensée salvatrice… Une naïveté oisive, qui se flétrit un peu plus encore, à chaque occasion présentée… De même que la confiance, la fidélité, qui s'étiolait, dans les brumes de la nuit, de la mélancolie sidérée…
Le début de cette journée ensoleillée avait mal débutée... La douce et charmante nièce, par alliance, de l'éloquente Autrichienne, de douleurs tiraillées, en souffrait... Le problème de l'appendicite, qui l'a dérangeait, durant de nombreuses heures durant... Durant quelques jours, au demeurant... Ne supportant de la voir dans un tel état ; aussi tourmentée... Ses chers et amants parents n'étant présents, la jeune femme se décidait de l'accompagner à l'hôpital, se trouvant dans les bordures de la ville chatoyante, pour pouvoir mieux l'aider, un tant soit peu, la soulagée... Au risque de provoquer davantage, l'effroyable mépris, le courroux lancinant... Le venin furibond, de son rustre, violent de mari, dont, en parallèle, cette dernière s'activer discrètement, pour régler, dans les plus brefs délais, la procédure de divorce. De lui, s'en délivrée, à jamais... La jeune blondinette qu'elle demeurait, songeait, apparemment, reprendre le cours d'une existence salvatrice, pour penser un peu à elle... Recoller les morceaux de son âme brisée, fissurée, en mille et un éclats, oui... Elle n'avait guère envisager, néanmoins, de croiser le doux regard envoûtant, pénétrant, de ce séduisant, attentionné médecin. Si tendre, sensuel... Sexy, parfait, qu'il représentait... D'en tomber délibérément amoureuse, de connaitre le fameux coup de foudre... Et pourtant, Ce fusse, avec une stupéfaction surprenante, délicate, qu'elle fusse emporter par l'amour, les rouages de la passion aveuglante... Un malentendu, cette dernière finisse, bien malgré elle, par déambuler, s'égarée, dans les immenses blancs couloirs froids du bâtiment, pendant laquelle, sa ravissante et innocente Emily, se faisait opérer... Caprice complice du destin, elle finisse par croiser, une fois encore, le doux chemin de ce cher et séduisant Ryan, qui avait posé, un peu plus tôt, un diagnostic... Remarquant cette pauvre malheureuse, il consentait par la rassurée, par lui proposer un chaud breuvage... Une délicate, alléchante attention, que celle-ci, finisse par accepter, avec le plus doux des plaisirs qu'ils fussent... Un échange courtois, mais des plus féeriques, se matérialisé... Les forts sentiments, la proximité, finissent par faire leurs effets... Si bien qu'au moment de, bel et bien, se quitter - de prendre le cours de leurs vies trépassées, l'envoûtant, exquis, parfait australien, se risquait par lui voler un baiser langoureux, passionné... Baiser qu'Ivy, tout autant, avec délice, prolonger... Le coup de foudre, le coup de l'adrénaline... La folie sidérée, dans son infinie beauté... La rendant irrémédiablement folle à lier, ce fusse une démarche, que cette dernière finisse, bien malgré elle, par faire durer... Sans saisirent l'essence même, de ce que cette situation en résultait, ils atterrissaient, sciemment, dans son vaste bureau ; et plonger dans une ambiance chaleureuse, intimiste, voilà que Céleste se permisse de faire une douce petite gâterie, que le magnifique, romantique petit brun, n'était point en mesure d'oublier ! De cela, elle y veillerait au grain, comme qui dirait ! Mais, les droits de la dure réalité abrupte, les reprissent, sur ceux de l'imaginaire... A tel point, que, finalement, ces deux âmes-sœurs finissent par, délicatement, se quitter... Ryan, s'affairant, une fois de plus... S'occupant de ses patients, tandis que la jeune blonde reprenait ses esprits embrumés... Retrouvant sa délicate et dévouée nièce, il est vrai... Bien qu'elle se jurait, tendrement, que ce séduisant, charismatique, envoûtant, sexy petit brun... Dont leurs chemins étroits, se croiseraient à nouveau... Que leurs âmes, leurs existences dorées, étaient désormais, unies... Liées à jamais...